Les défis de la matrice d’Eisenhower

Les défis de la matrice d’Eisenhower

La matrice d’Eisenhower ou matrice des priorités est un incontournable de la gestion du temps. Si elle est simple à comprendre, son application au quotidien demeure un défi. On vous explique.

1. Matrice d’Eisenhower : comment définir les urgences vraiment importantes ?
2. Comment planifier les tâches du cadran B selon la matrice d’Eisenhower ?
3. Le défi du cadran C : ne pas se laisser envahir !
4. La matrice d’Eisenhower laisse-t-elle du temps pour les tâches du cadran D ?
Pour se servir de la matrice d’Eisenhower, il suffit de classer toutes vos tâches à faire dans les 4 cadrans dessinés par les 2 axes Urgence et Importance. Les tâches qui sont d’importance haute et de forte urgence, celles qui sont dans le cadran A , le challenge est de traquer la vérité. Pour celles qui sont d’importance mais d’urgence plus faible, le mot d’ordre est de planifier et de s’y tenir. Quant aux tâches de forte urgence mais de faible importance, attention à ne pas vous laisser envahir. Enfin, les missions d’importance faible et de faible urgence sont à consommer avec modération. Tout l’enjeu est de classer vos tâches au bon endroit.

1. Matrice d’Eisenhower : comment définir les urgences vraiment importantes ?

C’est le cadran de l’adrénaline. Il faut agir immédiatement et vite ! Certes. C’est indiscutable. Oui, mais… Avons-nous vraiment toujours affaire à de vraies urgences vraiment importantes ? Pour le savoir, posons nous 3 séries de questions :

  • L’action à réaliser a-t-elle un impact majeur sur la satisfaction client ? sur la santé financière de l’entreprise ? sur son image ? sur les obligations légales qu’elle doit remplir ?
  • Quel est le risque à ne pas réaliser cette action immédiatement ? Y a-t-il un risque sur la sécurité des personnes ? Un risque de perte de clientèle ? Un risque financier ? Juridique ? Que devient ce risque si l’action est réalisée la semaine prochaine plutôt qu’aujourd’hui ? Dans 2 jours ? Demain ? Dans deux heures ou même une heure ?
  • Enfin, quelle est notre part de responsabilité dans l’accumulation de tâches en cadran A ? Quelles sont celles que nous aurions pu anticiper ?

Les réponses à ces questions peuvent nous redonner un peu de marge de manœuvre pour arbitrer en faveur d’une tâche de cadran B moins urgente mais à plus fort enjeu. Sinon, nous risquons de tomber dans le cercle vicieux de la matrice emballée : les tâches de cadran B sont continuellement reportées et traitées au pied du mur, en cadran A.

2. Comment planifier les tâches du cadran B selon la matrice d’Eisenhower ?

Les tâches du cadran B méritent toute notre attention, car elles sont importantes mais moins urgentes. C’est en les anticipant que nous redonnons de la souplesse à notre agenda – et gagnons en sérénité. Or, ce sont souvent des tâches délicates ou des problèmes complexes qui méritent un temps réflexion long, peu compatible avec des urgences qui tombent à rythme soutenu. Voici une liste de bonnes pratiques pour les privilégier et les protéger :

  • Découper les tâches longues en sous-objectifs susceptibles de tenir dans un format court : 45′ à 1h30 maximum.
  • Planifier dans l’agenda des rendez-vous avec nous-mêmes pour les traiter, de préférence le matin avant d’ouvrir la boîte mail.
  • Indiquer en clair l’objectif de chaque séquence sous forme de livrable concret.
  • Fermer mail, téléphone et indiquer aux collègues que nous devons nous concentrer.
  • Si possible, télétravailler ou s’isoler dans une petite salle à dispositions.
  • Et bien sûr, résister à l’invasion des tâches du cadran C.

3. Le défi du cadran C : ne pas se laisser envahir !

C’est sans doute le plus grand défi de cette matrice, celle qui trace la « diagonale du fou » B-C. Elle représente notre plus gros dilemme : faut-il privilégier une urgence moins importante à une tâche importante mais moins urgente ? La réponse est non. Intellectuellement, nous le comprenons.

Psychiquement et presque physiologiquement, c’est une autre affaire. La notion d’urgence déclenche le réflexe irrépressible de tout lâcher pour nous en occuper. D’où l’importance de nous isoler pour protéger nos tâches de cadran B.

Pour résister à l’envahisseur, nous pouvons aussi adopter d’autres réflexes :

  • Répondre à toute sollicitation par « oui et ». Extrait de dialogue : « je peux te voir 5 minutes ? » – « oui bien sûr, à 11h ». Le bénéfice de cette méthode est immédiat. Entendant le oui, le solliciteur est rassuré. Il accepte dans 80 % des cas de reporter notre entretien… lorsque nous aurons fini cette tâche de cadran B en cours.
  • Réserver systématiquement dans l’agenda des plages de disponibilité – une à deux par jour – pour canaliser lesdites sollicitations et traiter les vraies urgences en toute sérénité.
  • À chaque nouvelle demande, nous interroger : « qui d’autre ? » pourrait réaliser cette tâche mieux et plus rapidement ?
  • Oser refuser tout simplement avec un « non je ne peux pas » les tâches qui sont vraiment trop en marge de notre mission.
  • Négocier le périmètre du livrable à fournir, redonner au solliciteur une part du travail à accomplir.
  • Rappeler gentiment les règles du travail collectif à ceux qui n’anticipent jamais…et négocier encore plus durement avec eux.
  • Traiter en profondeur les urgences récurrentes : inscrire dans le cadran B, par exemple, de mettre à la disposition des collègues un tutoriel pour qu’ils soient autonomes.

Évidemment, ça ne marche pas à tous les coups. Mais cela permet d’alléger considérablement le poids du cadran C au profit du cadran B.

4. La matrice d’Eisenhower laisse-t-elle du temps pour les tâches du cadran D ?

Le général Eisenhower jetait sans état d’âme tout le contenu de ce cadran à la poubelle. Mais dans le monde professionnel d’aujourd’hui, une partie des tâches du cadran D sont nécessaires mais sans contribution directe à notre cœur de mission. Ce sont les tâches administratives, les notes de frais, le classement de nos dossiers. Sans réelle valeur ajoutée, elles méritent tout de même d’être réalisées avec régularité. Il est plus rapide de traiter les notes de frais d’une semaine que d’un mois entier. Si nous ne classons pas nos fichiers, nous perdons chaque jour un nombre de plus en plus important de minutes à retrouver nos dossiers.

Le cadran D contient également une foule de petites tâches mineures et complètement accessoires dont nous pourrions nous passer mais qui nous font du bien. Quelques tweets superflus, une partie de ping-pong-sms débridée, un petit service à rendre à une personne que nous apprécions beaucoup, l’ultime peaufinage d’une présentation déjà magnifique… chacun ses marottes. Ces actions nous détendent et méritent à ce titre une place – raisonnable – dans notre emploi du temps.

Pour les tâches du cadran D, deux garde-fous :

  • Réserver ces tâches pour les « heures creuses » de notre rythme chronobiologique.
  • Nous donner un temps limité pour les accomplir.

La matrice des priorités n’est pas ingrate. Elle nous entraine dans le cercle vertueux de l’efficacité dès lors que nous relevons ces 4 défis.

Excel partie 8 : Formules matricielles

Excel partie 8 : Formules matricielles

Instructions et exemples de formules matricielles

Une formule matricielle est une formule qui peut effectuer plusieurs calculs sur un ou plusieurs éléments d’un tableau. Vous pouvez considérer un tableau comme une ligne ou une colonne de valeurs, ou une combinaison de lignes et de colonnes de valeurs. Les formules matricielles peuvent renvoyer des résultats multiples ou un résultat unique.

Les formules matricielles dynamiques, qu’elles utilisent des fonctions existantes ou les fonctions de tableau dynamique, ne doivent être entrées que dans une seule cellule, puis confirmées en appuyant sur entrée. Auparavant, les formules matricielles héritées nécessitent d’abord la sélection de la plage de sortie entière, puis la confirmation de la formule avec Ctrl + Maj + Entrée. Elles sont généralement appelées formules CSE .

Vous pouvez utiliser des formules matricielles pour effectuer des tâches complexes, telles que :

  • Créez rapidement des exemples de jeu de données.
  • Compter le nombre de caractères contenus dans une plage de cellules.
  • Additionner uniquement les nombres qui remplissent certaines conditions, telles que les valeurs les plus basses d’une plage ou les nombres compris entre une limite supérieure et une limite inférieure.
  • Additionner chaque nième valeur dans une plage de valeurs.

Les exemples suivants vous montrent comment créer des formules matricielles à cellule unique et à plusieurs cellules. Dans la mesure du possible, nous avons inclus des exemples illustrant certaines fonctions de matrice dynamique, ainsi que les formules matricielles existantes entrées à la fois sous forme de matrices dynamiques et héritées.

Tableaux à cellule unique et à plusieurs cellules

Cet exercice vous montre comment utiliser des formules de tableau à plusieurs cellules et à cellule unique pour calculer un ensemble de chiffres de vente. La première série d’étapes utilise une formule à plusieurs cellules pour calculer un ensemble de sous-totaux. La seconde série utilise une formule à cellule unique pour calculer un total général.

  • Formule de tableau à plusieurs cellules

    Fonction de tableau à plusieurs cellules dans la cellule H10 = F10 : F19 * G10 : G19 pour calculer le nombre de voitures vendues par le prix unitaire

 

  • Dans cette section, nous allons calculer le total des ventes de coupés et de de de pour chaque vendeur en entrant = F10 : F19 * G10 : G19 dans la cellule H10.

    Lorsque vous appuyez sur entrée, les résultats sont affichés dans les cellules H10 : H19. Vous remarquerez que la plage de projection est mise en évidence avec une bordure lorsque vous sélectionnez une cellule dans la plage de projection. Vous remarquerez peut-être également que les formules dans les cellules H10 : H19 sont grisées. S’il s’agit d’une formule de référence, il vous faudra sélectionner la cellule H10, où se trouve la formule maîtresse.

  • Formule matricielle à cellule unique

    Formule matricielle à cellule unique pour calculer un total général avec = somme (F10 : F19 * G10 : G19)

    Dans la cellule H20 de l’exemple de classeur, tapez ou copiez-collez somme (F10 : F19 * G10 : G19), puis appuyez sur entrée.

    Dans ce cas, Excel multiplie les valeurs du tableau (la plage de cellules de F10 à G19), puis utilise la fonction somme pour additionner les totaux. Le résultat produit un total général de 1 590 000 dollars de ventes.

    Cet exemple illustre la puissance de ce type de formule. Par exemple, supposons que vous disposez de 1000 lignes de données. Vous pouvez additionner tout ou partie de ces données en créant une formule de tableau dans une seule cellule au lieu de faire glisser la formule vers le bas sur les 1000 lignes. Notez également que la formule à cellule unique de la cellule H20 est entièrement indépendante de la formule à plusieurs cellules (formule dans les cellules H10 à H19). Cela révèle un autre avantage des formules de tableau : leur souplesse d’utilisation. Vous pouvez modifier les autres formules dans la colonne H sans affecter la formule dans H20. Il peut également être utile d’avoir des totaux indépendants comme celui-ci, car il permet de valider la précision de vos résultats.

  • Les formules matricielles dynamiques présentent également les avantages suivants :
    • Cohérence    Si vous cliquez sur l’une des cellules de H10 vers le bas, la même formule s’affiche. Cette cohérence peut être synonyme de plus grande précision.
    • Sécurité    Vous ne pouvez pas remplacer un composant d’une formule de tableau à plusieurs cellules. Par exemple, cliquez sur H11 de cellule, puis appuyez sur SUPPR. Excel ne modifie pas la sortie du tableau. Pour le modifier, vous devez sélectionner la cellule située dans le coin supérieur gauche de la matrice ou la cellule H10.
    • Fichiers de plus petite taille    Il est souvent possible d’utiliser une seule formule de tableau au lieu de plusieurs formules intermédiaires. Par exemple, l’exemple ventes de voitures utilise une formule matricielle pour calculer les résultats dans la colonne E. Si vous avez utilisé des formules standard, telles que G10, F11 * G11, F12 * G12, etc., vous avez utilisé 11 formules différentes pour calculer les mêmes résultats. Ce n’est pas une véritable affaire, mais si vous avez des milliers de lignes au total ? C’est alors qu’il peut s’avérer très important.
    • Efficacité    Les fonctions matricielles peuvent faciliter la création de formules complexes. La formule matricielle = somme (F10 : F19 * G10 : G19) est la même que celle-ci : = somme (F10 * G10, F11 * G11, F12 * G12, F13 * G13, F14 * G14 F15 G15 F16 G16 F17 G17 F18 G18 F19 G19).
    • Empiètent    Les formules matricielles dynamiques seront automatiquement propagées dans la plage de sortie. Si vos données sources se trouvent dans un tableau Excel, vos formules de tableau dynamique seront automatiquement redimensionnées lors de l’ajout ou de la suppression de données.

Créer une constante de matrice à deux dimensions

Les constantes de matrice sont un composant des formules matricielles. Vous pouvez créer des constantes de matrice en entrant une liste d’éléments et en mettant cette liste entre accolades ({ }), comme ceci :

= {1, 2, 3, 4, 5} ou = {« January », « février », « mars »}

Si vous séparez les éléments à l’aide de virgules, vous créez un tableau horizontal (une ligne). Si vous séparez les éléments à l’aide de points-virgules, vous créez un tableau vertical (une colonne). Pour créer un tableau à deux dimensions, séparez les éléments de chaque ligne par des virgules, puis délimitez chaque ligne par des points-virgules.

Les procédures suivantes vous permettront de vous familiariser avec la création de constantes horizontales, verticales et à deux dimensions. Nous allons vous montrer des exemples d’utilisation de la fonction Sequence pour générer automatiquement des constantes matricielles, ainsi que des constantes de matrice entrées manuellement.

  • Créer une constante horizontale

    Utilisez le classeur des exemples précédents ou créez un nouveau classeur. Sélectionnez une cellule vide et entrez = Sequence (1 ; 5). La fonction SEQUENCE génère une matrice d’une ligne et de 5 colonnes comme = {1, 2, 3, 4, 5}. Le résultat suivant s’affiche :

    Créer une constante de matrice horizontale avec = SEQUENCE (1, 5) ou = {1, 2, 3, 4, 5}

  • Créer une constante verticale

    Sélectionnez une cellule vide dans la salle située en dessous et entrez = Sequence (5)ou = {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5}. Le résultat suivant s’affiche :

    Créer une constante de matrice verticale avec = SEQUENCE (5) ou = {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5}

  • Créer une constante

    Sélectionnez une cellule vide dans la zone située à droite, puis entrez = Sequence (3, 4). Vous obtenez le résultat suivant :

    Créer une constante de matrice de trois lignes sur 4 colonnes avec = SEQUENCE (3, 4)

    Vous pouvez également entrer : ou = {1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12}, mais vous devez veiller à ce que vous ayez placé des points-virgules plutôt que des virgules.

    Comme vous pouvez le constater, l’option de séquence offre des avantages importants par rapport à la saisie manuelle de valeurs de constantes de matrice. En premier lieu, vous économisez du temps, mais cela peut également permettre de limiter les erreurs d’entrée manuelle. Il est également plus facile de lire, en particulier, les points-virgules peuvent être difficiles à distinguer des séparateurs de virgule.

Syntaxe des constantes de matrice

Voici un exemple qui utilise des constantes de matrice dans le cadre d’une formule plus grande. Dans l’exemple de classeur, accédez à la constante dans une feuille de calcul de formule ou créez une feuille de calcul.

Dans la cellule D9, nous avons entré = Sequence (1 ; 5 ; 3 ; 1), mais vous pouvez également entrer 3, 4, 5, 6 et 7 dans les cellules A9 : H9. Il n’y a rien de particulier sur cette sélection de nombre, nous avons choisi un autre élément que 1-5 pour la différenciation.

Dans la cellule E11, entrez = somme (D9 : H9 * Sequence (1, 5))ou = somme (D9 : H9 * {1, 2, 3, 4, 5}). Les formules renvoient 85.

Utilisez des constantes de matrice dans des formules. Dans cet exemple, nous avons utilisé = somme (D9 : H (* séquence (1, 5))

La fonction SEQUENCE génère l’équivalent de la constante matricielle {1, 2, 3, 4, 5}. Dans la mesure où Excel effectue d’abord des opérations sur des expressions placées entre parenthèses, les deux éléments suivants qui entrent en jeu sont les valeurs de cellule dans la cellule D9 : H9 et l’opérateur de multiplication (*). À ce stade, la formule multiplie les valeurs dans le tableau stocké par les valeurs correspondantes dans la constante. Cela équivaut à :

= Somme (D9 * 1, E9 * 2, F9 * 3, G9 * 4,-H9 * 5)ou = somme (3 * 1 ; 4 * 2 ; 5 * 3 ; 5)

Enfin, la fonction somme additionne les valeurs et renvoie 85.

Pour éviter d’utiliser le tableau stocké et conserver l’opération entièrement en mémoire, vous pouvez le remplacer par une autre constante de matrice :

= Somme (séquence (1 ; 5 ; 3 ; 1) * séquence (1, 5))ou = somme ({3, 4, 5, 6, 7} * {1, 2, 3, 4, 5})

Éléments que vous pouvez utiliser dans des constantes de matrice

  • Les constantes matricielles peuvent contenir des nombres, du texte, des valeurs logiques (comme vrai et faux) et des valeurs d’erreur telles que #N/A. Vous pouvez utiliser des nombres sous forme de nombres entiers, décimaux et scientifiques. Si vous incluez du texte, vous devez le placer entre guillemets (« texte »).
  • Les constantes de matrice ne peuvent pas contenir de tableaux, formules ou fonctions supplémentaires. En d’autres termes, elles ne peuvent contenir que du texte ou des chiffres séparés par des virgules ou des points-virgules. Excel affiche un message d’avertissement lorsque vous entrez une formule telle que {1,2,A1:D4} ou {1,2,SOMME(Q2:Z8)}. Par ailleurs, les valeurs numériques ne peuvent pas contenir de signes de pourcentage ou de dollar, de virgules ou de parenthèses.

Nommer les constantes de matrice

L’une des meilleures manières d’utiliser des constantes de matrice consiste à les nommer. Les constantes nommées peuvent être beaucoup plus faciles à utiliser et peuvent dissimuler une partie de la complexité de vos formules aux autres utilisateurs. Pour nommer une constante de matrice et l’utiliser dans une formule, procédez comme suit :

Accédez aux formules > noms définis > définir un nom. Dans la zone nom , tapez Trimestre1. Dans la zone Fait référence à, entrez la constante suivante (n’oubliez pas de taper les accolades) :

={« Janvier », »Février », »Mars »}

La boîte de dialogue doit maintenant ressembler à ceci :

Ajoutez une constante de matrice nommée à partir de formules > noms définis > gestionnaire de noms > nouveau

Cliquez sur OK, puis sélectionnez n’importe quelle ligne contenant trois cellules vides et entrez = Trimestre1.

Le résultat suivant s’affiche :

Utilisez une constante de matrice nommée dans une formule, telle que = Trimestre1, où Trimestre1 a été défini comme = {"January", "février", "March"}

Si vous souhaitez que les résultats soient déplacés verticalement au lieu d’être horizontaux, vous pouvez utiliser =transposer(Trimestre1).

Si vous souhaitez afficher une liste de 12 mois, comme vous pouvez l’utiliser lors de la création d’un état financier, vous pouvez baser une partie de l’année en cours avec la fonction SEQUENCE. Ce n’est pas tout ce qu’il est possible d’afficher, même si le mois est affiché, il existe une date valide au-delà de celle que vous pouvez utiliser dans d’autres calculs. Ces exemples se trouvent dans les feuilles de calcul de matrices nommées et de jeux de données de l’exemple de jeu rapide dans l’exemple de classeur.

= TEXTE (DATE (ANNEe (aujourdhui ()), ordre (1, 12), 1), « MMM »)

Utilisez une combinaison des fonctions texte, DATE, année, aujourd’hui et séquence pour créer une liste dynamique de 12 mois.

Cela utilise la fonction date pour créer une date sur la base de l’année en cours, la séquence génère une constante de matrice entre 1 et 12 pour janvier et décembre, puis la fonction texte convertit le format d’affichage en « MMM » (Jan, fév, mars, etc.). Pour afficher le nom du mois complet (par exemple, janvier), vous devez utiliser « mmmm ».

Lorsque vous utilisez une constante nommée en tant que formule matricielle, n’oubliez pas d’entrer le signe égal, comme dans = Trimestre1, pas seulement Trimestre1. Si vous l’omettez, Excel interprétera le tableau comme une chaîne de texte et votre formule ne fonctionnera pas comme prévu. Enfin, n’oubliez pas que vous pouvez utiliser des combinaisons de fonctions, de texte et de chiffres. Tout dépend de la manière dont vous souhaitez obtenir votre créativité.

Constantes de matrice en action

Les exemples suivants montrent de quelle manière vous pouvez mettre les constantes de matrice à contribution dans des formules de tableau. Certains de ces exemples utilisent la fonction transpose pour convertir des lignes en colonnes et inversement.

  • Plusieurs éléments dans un tableau

    Entrez = Sequence (1, 12) * 2ou = {1, 2, 3, 4 ; 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12} * 2

    Vous pouvez également diviser par (/), ajouter avec (+) et soustraire à ().

  • Mettre au carré les éléments dans un tableau

    Entrez = Sequence (1, 12) ^ 2ou = {1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 ; 9, 10, 11, 12} ^ 2

  • Rechercher la racine carrée d’éléments carrés dans un tableau

    Entrez =sqrt(séquence (1, 12) ^ 2)ou = sqrt ({1, 2, 3, 4 ; 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12} ^ 2)

  • Transposer une ligne à une dimension

    Entrez = transposer (séquence (1, 5))ou = transposer ({1, 2, 3, 4, 5})

    Même si vous avez entré une constante de matrice horizontale, la fonction TRANSPOSE convertit la constante de matrice en une colonne.

  • Transposer une colonne à une dimension

    Entrée = transposer (séquence (5, 1))ou = transposer ({1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5)

    Même si vous avez entré une constante de matrice verticale, la fonction TRANSPOSE convertit la constante en une ligne.

  • Transposer une constante à deux dimensions

    Entrez = transposer (séquence (3 ; 4))ou = transposer ({1, 2, 3, 4 ; 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12})

    La fonction TRANSPOSE convertit chaque colonne en une série de colonnes.

Appliquer des formules de tableau de base

Cette section présente des exemples de formules de tableau de base.

  • Créer un tableau à partir de valeurs existantes

    L’exemple suivant explique comment utiliser des formules de tableau pour créer un tableau à partir d’un tableau existant.

    Entrée = séquence (3 ; 6 ; 10 ; 10); ou = {10 ; 20 ; 30 ; 40 ; 50 ; 60 ; 70 ; 80 90100110120 ; 130140150160170180}

    Veillez à taper {(accolade ouvrante) avant de taper 10, et} (accolade fermante) après avoir tapé 180, car vous créez un tableau de nombres.

    Entrez = D9 #ou = D9 : i11 dans une cellule vide. Un tableau de cellules de 3 x 6 s’affiche avec les mêmes valeurs que celles affichées dans la cellule D9 : D11. Le signe # est appelé l’ opérateur de plage renverséeet il est Excel’s de faire référence à la plage de la matrice entière au lieu de la taper.

    Utiliser l’opérateur de plage renversée (#) pour référencer un tableau existant

  • Créer une constante de matrice à partir de valeurs existantes

    Vous pouvez obtenir les résultats d’une formule de tableau renversé et les convertir en parties de composants. Sélectionnez la cellule D9, puis appuyez sur F2 pour passer en mode d’édition. Ensuite, appuyez sur F9 pour convertir les références de cellule en valeurs, puis sur Excel dans une constante matricielle. Lorsque vous appuyez sur entrée, la formule, = D9 #, doit maintenant être = {10, 20, 30 ; 40 ; 50 ; 60 ; 70 ; 80 ; 90}.

  • Compter les caractères dans une plage de cellules

    L’exemple suivant vous montre comment compter le nombre de caractères d’une plage de cellules. Cela inclut les espaces.

    Compter le nombre total de caractères d’une plage et d’autres matrices pour utiliser des chaînes de texte

    = SOMME (NBCAR (C9 : C13))

    Dans ce cas, la fonction NBCAR renvoie la longueur de chaque chaîne de texte dans chacune des cellules de la plage. La fonction somme additionne alors ces valeurs et affiche le résultat (66). Pour obtenir le nombre moyen de caractères, vous pouvez utiliser les éléments suivants :

    = MOYENNE (FONCTION LEN (C9 : C13))

  • Contenu de la cellule la plus longue dans la plage C9 : C13

    = INDEX (C9 : C13, MATCH (MAX (C9 (C9 : C13)), NBCAR (C9 : C13), 0), 1)

    Cette formule ne fonctionne que lorsqu’une plage de données contient une seule colonne de cellules.

    Examinons la formule d’un peu plus près, en commençant par les éléments intérieurs et en procédant vers l’extérieur. La fonction NBCAR renvoie la longueur de chaque élément de la plage de cellules D2 : D6. La fonction max calcule la plus grande valeur parmi les éléments, ce qui correspond à la chaîne de texte la plus longue dans la cellule D3.

    C’est ici que les choses se compliquent un peu. La fonction EQUIV calcule le décalage (position relative) de la cellule qui contient la chaîne de texte la plus longue. Pour ce faire, elle a besoin de trois arguments : unevaleur de recherche, un tableau de recherche et un type de correspondance. La fonction EQUIV recherche la valeur de recherche spécifiée dans le tableau de recherche. Dans notre exemple, la valeur de recherche est la chaîne de texte la plus longue :

    MAX (FONCTION LEN (C9 : C13)

    et cette chaîne réside dans le tableau suivant :

    NBCAR (C9 : C13)

    L’argument match type dans le cas présent est 0. Le type de match peut être une valeur de 1, 0 ou-1.

    • 1 : renvoie la plus grande valeur qui est inférieure ou égale à la valeur valeur de recherche.
    • 0 : renvoie la première valeur exactement égale à la valeur de recherche.
    • -1 : renvoie la plus petite valeur supérieure ou égale à la valeur de recherche spécifiée.
    • Si vous omettez de spécifier un type de correspondance, Excel prend la valeur 1.

    Enfin, la fonction index accepte les arguments suivants : un tableau et un numéro de ligne et de colonne dans ce tableau. La plage de cellules C9 : C13 fournit la matrice, la fonction EQUIV fournit l’adresse de la cellule et l’argument final (1) spécifie que la valeur provient de la première colonne du tableau.

    Si vous souhaitez obtenir le contenu de la chaîne de texte la plus petite, remplacez MAX dans l’exemple ci-dessus par min.

  • Chercher les n valeurs les plus petites dans une plage

    Cet exemple montre comment trouver les trois valeurs les plus petites dans une plage de cellules, où un tableau d’exemples de données dans les cellules B9 : B18has a été créé avec : = ent (ALEAT(10 ; 1) * 100). Notez que ALEAT est une fonction volatile, de sorte que vous obtenez un nouvel ensemble de nombres aléatoires chaque fois qu’Excel calcule.

    Formule matricielle Excel pour rechercher la nième valeur la plus petite : = petite (B9 #, séquence (D9))

    Entrez = petit (B9 #, séquence (D9)= petit (B9 : B18 ; {1 ; 2 ; 3})

    Cette formule utilise une constante de matrice pour évaluer la fonction petite fonction trois fois et retourner les 3 plus petits membres du tableau contenus dans les cellules B9 : B18, où 3 est une valeur de variable dans la cellule D9. Pour trouver plus de valeurs, vous pouvez augmenter la valeur de la fonction de séquence ou ajouter d’autres arguments à la constante. Vous pouvez également utiliser des fonctions supplémentaires avec cette formule, telles que SOMME ou MOYENNE. Par exemple :

    = SOMME (PETITE (B9, ORDRE (D9))

    = MOYENNE (PETITE (B9 #, SÉQUENCE (D9))

  • Chercher les n valeurs les plus grandes dans une plage

    Pour rechercher les valeurs les plus élevées dans une plage, vous pouvez remplacer la fonction petite en fonction de la fonction grande. Par ailleurs, l’exemple suivant utilise les fonctions LIGNE et INDIRECT.

    Entrez = grande grande (B9 #, ligne (indirect (« 1:3 »))) ou = grande (B9 : B18 ; ligne (indirect (« 1:3 ») ))

    À ce stade, il peut être utile d’en savoir un peu sur les fonctions LIGNE et INDIRECT. Vous pouvez utiliser la fonction LIGNE ou créer un tableau d’entiers consécutifs. Par exemple, sélectionnez une zone vide et entrez :

    =LIGNE(1:10)

    La formule crée une colonne de 10 entiers consécutifs. Pour repérer un problème potentiel, insérez une ligne au-dessus de la plage qui contient la formule de tableau (c’est-à-dire, au-dessus de la ligne 1). Excel ajuste les références de ligne et la formule génère désormais des entiers de 2 à 11. Pour corriger ce problème, ajoutez la fonction INDIRECT à la formule :

    =LIGNE(INDIRECT(« 1:10 »))

    La fonction INDIRECT utilise des chaînes de texte comme arguments (c’est la raison pour laquelle la plage 1:10 est entourée de guillemets). Excel n’ajuste pas les valeurs de texte lorsque vous insérez des lignes ou déplacez la formule de tableau d’une manière ou d’une autre. En conséquence, la fonction LIGNE génère toujours le tableau d’entiers que vous voulez. Vous pouvez aussi facilement utiliser une séquence :

    = SEQUENCE (10)

    Examinons la formule que vous avez utilisée auparavant, = grande grande (B9 #, ligne (indirecte (« 1:3 »))), en partant des parenthèses internes et en travaillant vers l’extérieur : la fonction INDIRECT renvoie un ensemble de valeurs de texte, dans ce cas les valeurs 1 à 3. La fonction ligne génère un tableau de colonnes à trois cellules. La fonction grande. valeur utilise les valeurs de la plage de cellules B9 : B18 et elle est évaluée trois fois, une fois pour chaque référence renvoyée par la fonction ligne. Pour trouver plus de valeurs, vous devez ajouter une plus grande plage de cellules à la fonction INDIRECT. Pour finir, comme avec les petits exemples, vous pouvez utiliser cette formule avec d’autres fonctions, telles que somme et moyenne.

Gestion des erreurs

  • Additionner une plage qui contient des valeurs d’erreur

    La fonction somme dans Excel ne fonctionne pas lorsque vous essayez de additionner une plage qui contient une valeur d’erreur, par exemple, #VALUE. ou #N/A. Cet exemple vous montre comment additionner les valeurs d’une plage nommée Data contenant des erreurs :

    Utiliser des tableaux pour gérer les erreurs. Par exemple, = somme (si (ESTERREUR (données); ""; données) totalise la plage nommée données, même si elle contient des erreurs, comme #VALUE. ou #NA !.

  • =SOMME(SI(ESTERREUR(Données), » »,Données))

    La formule crée un tableau contenant les valeurs d’origine sans les valeurs d’erreur. En partant des fonctions intérieures et en procédant vers l’extérieur, la fonction ESTERREUR recherche les erreurs dans la plage de données (Données). La fonction SI renvoie une valeur spécifique si une condition que vous spécifiez prend la valeur VRAI et une autre valeur si la condition prend la valeur FAUX. Dans ce cas, la fonction renvoie des chaînes vides («  ») pour toutes les valeurs d’erreur car elles sont VRAIES, et renvoie les valeurs restantes de la plage (Données) car elles prennent la valeur FAUX, ce qui signifie qu’elles ne contiennent pas de valeurs d’erreur. La fonction SOMME calcule ensuite le total pour le tableau filtré.

  • Compter le nombre de valeurs d’erreur dans une plage

    Cet exemple est semblable à la formule précédente, à ceci près qu’il renvoie le nombre de valeurs d’erreur dans une plage nommée données au lieu de les filtrer :

    =SOMME(SI(ESTERREUR(Données),1,0))

    Cette formule crée un tableau qui contient la valeur 1 pour les cellules contenant des erreurs et la valeur 0 pour les cellules n’en contenant pas. Vous pouvez simplifier la formule et obtenir le même résultat en supprimant le troisième argument pour la fonction SI, comme ceci :

    =SOMME(SI(ESTERREUR(Données),1))

    Si vous ne spécifiez pas l’argument, la fonction SI renvoie FAUX si une cellule ne contient pas de valeur d’erreur. Vous pouvez aller encore plus loin dans la simplification de la formule :

    =SOMME(SI(ESTERREUR(Données)*1))

    Cette version fonctionne car VRAI*1=1 et FAUX*1=0.

Additionner des valeurs basées sur des conditions

Il est possible que vous deviez additionner des valeurs basées sur des conditions.

Vous pouvez utiliser des tableaux pour calculer en fonction de certaines conditions. = SOMME (si (ventes>0, ventes)) additionne toutes les valeurs supérieures à 0 dans une plage nommée ventes.

Par exemple, cette formule matricielle additionne uniquement les entiers positifs d’une plage nommée ventes, qui représente les cellules E9 : E24 dans l’exemple ci-dessus :

=SOMME(SI(Ventes>0,Ventes))

La fonction si crée un tableau de valeurs positives et fausses. La fonction SOMME ignore surtout les valeurs fausses car 0+0=0. La plage de cellules que vous utilisez dans cette formule peut se composer d’un nombre indéfini de lignes et de colonnes.

Vous pouvez également additionner des valeurs répondant à plusieurs conditions. Par exemple, cette formule de tableau calcule les valeurs supérieures à 0 et inférieures à 2500 :

= SOMME ((ventes>0) * (ventes<2500) * (ventes))

N’oubliez pas que cette formule renvoie une erreur si la plage contient une ou plusieurs cellules non numériques.

Vous pouvez également créer des formules de tableau utilisant un type ou une condition OU. Par exemple, vous pouvez additionner des valeurs supérieures à 0 ou inférieures à 2500 :

= SOMME (si ((ventes>0) + (ventes<2500), ventes))

Vous ne pouvez pas utiliser les fonctions ET et OU directement dans des formules de tableau car ces fonctions renvoient un résultat unique (VRAI ou FAUX) et que les fonctions de tableau nécessitent des tableaux de résultats. Il est possible de contourner le problème en utilisant la logique présentée dans la formule précédente. En d’autres termes, vous effectuez des opérations mathématiques, telles que l’addition ou la multiplication de valeurs qui répondent à la condition ou ou.

Cet exemple indique comment supprimer les zéros d’une plage lorsque vous devez calculer la moyenne des valeurs de cette plage. La formule utilise une plage de données nommée Ventes :

=MOYENNE(SI(Ventes<>0,Ventes))

La fonction SI crée un tableau de valeurs différentes de 0, puis passe ces valeurs à la fonction MOYENNE.

Compter le nombre de différences entre deux plages de cellules

Cette formule de tableau compare les valeurs de deux plages de cellules nommées MesDonnées et VosDonnées et renvoie le nombre de différences entre les deux. Si les contenus des deux plages sont identiques, la formule renvoie 0. Pour utiliser cette formule, les plages de cellules doivent avoir la même taille et la même dimension. Par exemple, si MyData est une plage de 3 lignes de 5 colonnes, vosdonnées doit également comporter 3 lignes de 5 colonnes.

=SOMME(SI(MesDonnées=VosDonnées,0,1))

La formule crée un tableau de la taille des plages que vous comparez. La fonction SI remplit le tableau avec des valeurs 0 et 1 (0 pour les cellules différentes et 1 pour les cellules identiques). La fonction SOMME renvoie ensuite la somme des valeurs du tableau.

Vous pouvez simplifier la formule de la façon suivante :

= SOMME (1 * (MyData<>vosdonnées))

À l’instar de la formule qui compte les valeurs d’erreur dans une plage, cette formule fonctionne car VRAI*1=1 et FAUX*1=0.

Cette formule de tableau renvoie le numéro de ligne de la valeur maximale d’une plage de colonnes uniques nommée Données :

=MIN(SI(Données=MAX(Données),LIGNE(Données), » »))

La fonction SI crée un tableau correspondant à la plage nommée Données. Si une cellule correspondante contient la valeur maximale de la plage, le tableau contient le numéro de la ligne. Dans le cas contraire, le tableau contient une chaîne vide («  »). La fonction MIN utilise le nouveau tableau comme second argument et renvoie la valeur la plus petite, correspondant au numéro de ligne de la valeur maximale dans la plage Données. Si la plage nommée Données contient des valeurs maximales identiques, la formule renvoie la ligne de la première valeur.

Si vous souhaitez renvoyer l’adresse de la cellule réelle d’une valeur maximale, utilisez cette formule :

=ADRESSE(MIN(SI(Données=MAX(Données),LIGNE(Données), » »)),COLONNE(Données))

Vous trouverez des exemples similaires dans l’exemple de classeur de la feuille de calcul différences entre les jeux de données .

Facture électronique : êtes-vous prêt pour le 1er janvier 2020 ?

Facture électronique : êtes-vous prêt pour le 1er janvier 2020 ?

La transition numérique est en marche et le gouvernement mène la danse des réformes. D’ici 2020, 100% des factures à destination des acteurs du secteur public devront être numériques.

Démarré en 2017, ce grand changement s’effectue par vague. Depuis le 1er janvier 2019, les petites et moyennes entreprises se sont jetées à l’eau. À quoi doivent-elles s’attendre ? On vous éclaire sur la facturation électronique.

Facture électronique : de quoi s’agit-il ?

Concrètement, c’est une facture créée, envoyée et reçue sous forme numérique. Jusque-là, c’est évident et logique. Pour être légalement valide, elle doit respecter 4 règles d’or :

  • Garantir l’identité de l’émetteur,
  • Garantir l’intégrité de la facture (impossible de la modifier),
  • Garantir la lisibilité du document par son destinataire,
  • Contenir les mêmes mentions légales qu’une version papier (date d’émission, numéro, identité des 2 parties…).

 

Pour être sûr que votre facture électronique réponde à ces critères, plusieurs options s’offrent à vous :

  • L’utilisation d’une signature électronique via un certificat qualifié,
  • La mise en place de contrôles établissant un lien entre la facture et la transaction concernée (Piste d’Audit Fiable),
  • La mise en place d’une norme acceptée par les deux parties pour l’automatisation du traitement de la facture. En un mot, s’accorder en amont sur l’outil utilisé : par exemple un logiciel de gestion intégrée ou un fichier PDF.

Ces quelques points à respecter sont simples et rapides à mettre en place en s’équipant correctement.

 

La facture électronique et moi, ça donne quoi ?

L’ordonnance du 26 juin 2014 prévoit la mise en place progressive de la facture électronique. Elle est obligatoire selon un calendrier défini qui concerne les entreprises en fonction de leurs tailles.

Par exemple, vous êtes une entreprise de 15 salariés dans le secteur du BTP. Vous avez réalisé la rénovation d’un bâtiment public de la ville de Rambouillet.

 

Depuis le 1er janvier 2019, vous êtes dans l’obligation d’émettre votre facture au format électronique et de la transmettre sur le portail Chorus Pro. Développé par l’AIFE (Agence pour l’informatique financière de l’État), il permet le dépôt, la transmission et le suivi de vos factures électroniques auprès des établissements publics. Et en prime, il est mis gratuitement à disposition des fournisseurs et accepte un grand nombre de formats de factures (PDF signé ou non, XML structuré ou mixte,…).

 

Sans le respect de cette réglementation, vous ne serez pas réglé pour votre prestation.

 

Alors, comment faire ?

1. Créez votre compte sur le portail Chorus Pro.
2. Déposez votre facture sur le portail en respectant les formats acceptés
3. Suivez le traitement de votre facture et son paiement

Le + : pensez à vous équiper d’un logiciel de gestion, vous gagnerez du temps et ces trois étapes seront simplifiées, automatisées.

L’ensemble des entreprises et secteurs d’activités sont concernés ! En voici quelques exemples :

  • La réfection des peintures d’un hôtel de ville
  • L’entretien des espaces verts d’une commune
  • Une intervention de dépannage électrique dans une école
  • L’approvisionnement de tous les ordinateurs d’un centre hospitalier
  • L’édition de documents en vue d’une élection (flyer, bulletins de votes, etc.)

Et les avantages, pour moi PME, on en parle ?

La facture électronique devenant obligatoire, autant profiter des avantages qu’elle vous offre. Et oui, obligation légale ne veut pas forcément dire contraintes !

  • Réduisez vos coûts administratifs de 50% à 70% par rapport au traitement papier :

-Suppression des manipulations de documents papier,

-Diminution du temps de traitement,

-Suppression des coûts d’impression, d’envoi postal, de stockage.

  • Diminuez votre empreinte carbone
  • Optimisez le suivi et l’accès à l’information : traçabilité, sécurisation
  • Automatisez et rationalisez vos processus : meilleure fluidité dans les échanges

Précisons également que l’utilisation d’un logiciel de gestion renforce ces avantages dans votre quotidien.

Les gains sont multiples : coûts, productivité, environnement, temps, sécurité, etc. Désormais, vous n’avez plus aucune excuse. Passez à la facture électronique, votre entreprise vous remerciera !

 

Le non-respect : pas de sanctions, mais …

Bonne nouvelle : pour vos clients du service public, vous ne risquerez pas de grosse amende si vous n’utilisez pas de facture électronique. En revanche, il sera plus compliqué de vous faire payer par ces derniers, ce qui peut vite mettre en péril la pérennité de votre entreprise.

D’ailleurs, saviez-vous que le montant de trésorerie lié aux retards de paiement représente près de 12 milliards d’euros ? C’est colossal ! Donc, ne vous tirez pas une balle dans le pied.

Vous savez tout maintenant. Et vous l’aurez bien compris : passer à la facture électronique facilitera et sécurisera le paiement de vos factures ainsi que la gestion de votre trésorerie !

Excel partie 8 : Formules matricielles

Excel – Mode opératoire – Partie 7

Application d’une validation des données aux cellules

 

  1. Sélectionnez les cellules pour lesquelles vous voulez créer une règle.
  2. Sélectionner des données >validation des données.

 

Validation des données

 

Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :

  • Nombre entier : pour que la cellule accepte uniquement des nombres entiers.
  • Décimal : pour que la cellule accepte uniquement des nombres décimaux.
  • Liste : pour choisir des données dans la liste déroulante.
  • Date : pour que la cellule accepte uniquement des dates.
  • Durée : pour que la cellule accepte uniquement des heures.
  • Longueur du texte : pour limiter la longueur du texte.
  • Personnalisé : pour une formule personnalisée.

 

Sous Données, sélectionnez une condition :

  • entre
  • non comprise entre
  • égal à
  • différent de
  • supérieur à
  • inférieur à
  • supérieur ou égal à
  • inférieur ou égal à

 

  1. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
  2. Définissez les autres valeurs requises, en fonction de ce que vous avez choisi pour Autoriser et Données. Par exemple, si vous sélectionnez entre, sélectionnez les valeurs minimum: et maximum: pour la ou les cellules.
  3. Si vous voulez ignorer les espaces vides, activez la case à cocher Ignorer si vide.
  4. Si vous voulez ajouter un titre et un message à votre règle, sélectionnez l’onglet message de saisie , puis tapez un titre et un message.
  5. Activez la case à cocher Quand la cellule est sélectionnée pour que le message s’affiche lorsque l’utilisateur sélectionne les cellules sélectionnées ou pointe sur celles-ci.
  6. Sélectionnez OK.

    À présent, si l’utilisateur essaie d’entrer une valeur qui n’est pas valide, une fenêtre contextuelle affiche un message similaire à « Cette valeur ne respecte pas les restrictions de validation des données de cette cellule ».

Créer une liste déroulante

  1. Dans une feuille de calcul, tapez les entrées que doivent figurer dans votre liste déroulante. Idéalement, vos éléments de liste doivent figurer dans un tableau Excel. Si vous n’avez pas, vous pouvez convertir rapidement votre
  2. liste en tableau en sélectionnant une cellule dans la plage, puis en appuyant sur Ctrl+T

  1. Sélectionnez la cellule de la feuille de calcul dans laquelle vous voulez créer la liste déroulante.
  2. Dans le ruban, accédez à la l’onglet Données, puis à Validation des données.
  1. Sous l’onglet Options, dans la zone Autoriser, cliquez sur Liste.
  2. Cliquez dans la Source, puis sélectionnez votre plage de liste. Nous avons placé la nôtre sur une feuille nommée Villes, dans la plage A2:A9. Notez que nous avons exclu la ligne d’en-tête, car nous ne voulons pas qu’elle puisse être une option de sélection :

 

  1. Si les utilisateurs auront la possibilité de laisser la cellule vide, activez la case Ignorer si vide.
  2. Activez la case Liste déroulante dans la cellule.
  3. Cliquez sur l’onglet Message de saisie.
    • Si vous voulez qu’un message s’affiche lorsque l’utilisateur clique sur la cellule, cochez la case Quand la cellule est sélectionnée et tapez un titre et un message dans les zones (225 caractères maximum).
    • Si vous ne voulez pas qu’un message s’affiche, décochez la case.

      Cliquez sur l’onglet Alerte d’erreur.

      • Si vous souhaitez qu’un message contextuel s’affiche quand l’utilisateur entre un élément ne figurant pas dans votre liste, cochez la case Quand des données non valides sont tapées, choisissez une option dans la zone Style, puis tapez un titre et un message. Si vous ne souhaitez pas un message s’affiche,

.Options de Message d’erreur de liste déroulante Validation des données

 

  • désactivez la case à cocher
  • Vous hésitez sur le choix de l’option dans la zone Style ?
    • Pour afficher un message qui n’empêche pas les utilisateurs d’entrer des données ne figurant pas dans la liste déroulante, cliquez sur Informations ou Avertissement. L’option Informations a pour effet d’afficher un message avec l’icône Le message présente une icône d’informations mais n’empêche pas l’utilisateur d’effectuer une sélection dans la liste déroulante. , et l’option Avertissement d’afficher un message avec l’icône Le message présente une icône d’avertissement mais n’empêche pas l’utilisateur d’effectuer une sélection dans la liste déroulante. .

Pour empêcher les utilisateurs d’entrer des données ne figurant pas dans la liste déroulante, cliquez sur Arrêter.

Remarque : Si vous n’ajoutez pas de titre ou de texte, par défaut, le titre est « Microsoft Excel » et le message est « La valeur que vous avez tapée n’est pas valide. Un utilisateur a restreint les valeurs que peut prendre cette cellule ».

 

Excel partie 8 : Formules matricielles

Excel – Mode opératoire – Partie 6

Options de courbe de tendance dans Office

Courbe de tendance linéaire

Utilisez ce type de courbe de tendance pour créer est une ligne droite optimale pour des ensembles de données linéaires simples. Vos données sont linéaires si le motif des points de données ressemble à une ligne. Une courbe de tendance linéaire représente généralement une augmentation ou une diminution régulière.

Une courbe de tendance linéaire utilise l’équation suivante pour calculer les moindres carrés pour une ligne :

équation m étant la pente et b l’ordonnée à l’origine.

La courbe de tendance suivante indique que les ventes de réfrigérateurs ont régulièrement augmenté sur une période de huit ans. Notez que le coefficient de détermination (un nombre compris en 0 et 1 qui indique à quel point les valeurs estimées pour la courbe de tendance correspondent à vos données réelles) est de 0,9792, ce qui indique une bonne correspondance entre la courbe et les données.

Nuage de points avec une courbe de tendance linéaire

Courbe de tendance logarithmique

Affichant un trait courbe le plus exact possible, cette courbe de tendance logarithmique est utile lorsque la fréquence de modification des données augmente ou diminue rapidement, puis se stabilise. Une courbe de tendance logarithmique peut utiliser des valeurs négatives et positives.

Une courbe de tendance logarithmique utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

équation c et b étant des constantes et In la fonction du logarithme népérien.

La courbe de tendance logarithmique suivante illustre l’évolution estimée du nombre d’animaux dans une zone donnée, avec une stabilisation de cette évolution lorsque l’espace qui leur est attribué diminue. Le coefficient de détermination est de 0,933, ce qui indique une assez bonne correspondance entre la courbe et les données.

Nuage de points avec une courbe de tendance logarithmique

Courbe de tendance polynomiale

Cette courbe de tendance est utile lorsque vos données fluctuent. Par exemple, lorsque vous analysez des pertes et des profits sur un vaste ensemble de données. L’ordre de la courbe polynomiale peut être déterminé par le nombre de fluctuations dans les données ou par le nombre de courbures (bosses et creux) figurant dans la courbe. Généralement, une courbe polynomiale d’ordre 2 ne possède généralement qu’une seule bosse ou un seul creux. Une courbe polynomiale d’ordre 3 possède 1 ou 2 bosses ou creux, et une courbe d’ordre 4, possède 3 bosses ou creux au maximum.

Une courbe de tendance polynomiale ou linéaire courbe utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

équation où b et Variable sont des constantes.

La courbe de tendance polynomiale d’ordre 2 (une bosse) suivante illustre la relation entre la vitesse de conduite et la consommation d’essence. Notez que le coefficient de détermination est de 0,979, ce qui est proche de 1 et indique une bonne correspondance entre la courbe et les données.

Nuage de points avec une courbe de tendance polynomiale

Courbe de tendance de puissance

Affichant un trait courbe, cette courbe de tendance est utile pour les ensembles de données qui comparent des mesures augmentant à une vitesse spécifique. Par exemple, l’accélération, toutes les secondes, d’une voiture de course. Vous ne pouvez pas créer une telle courbe si vos données contiennent des valeurs nulles ou négatives.

Une courbe de tendance de puissance utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

équationoù c et b sont des constantes.

Remarque : Cette option n’est pas disponible lorsque vos données comportent des valeurs nulles ou négatives.

Le graphique de mesure des distances suivant affiche la distance en mètres par seconde. La courbe de tendance de puissance montre clairement une accélération continue. Le coefficient de détermination est de 0,986, ce qui indique une correspondance presque parfaite entre la courbe et les données.

Nuage de points avec une courbe de tendance de puissance

Courbe de tendance polynomiale exponentielle

Affichant un trait courbe, cette courbe de tendance est utile lorsque les valeurs de données augmentent ou diminuent de manière constante. Vous ne pouvez pas créer de courbe de tendance exponentielle pour des données contenant des valeurs nulles ou négatives.

Une courbe de tendance exponentielle utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

équation c et b étant des constantes et e la base du logarithme népérien.

La courbe de tendance exponentielle suivante illustre la quantité décroissante de carbone 14 dans un objet au fur et à mesure de son vieillissement. Notez que le coefficient de détermination est de 0,990, ce qui indique une correspondance presque parfaite entre la courbe et les données.

Graphique avec courbe de tendance exponentielle

Courbe de tendance de moyenne mobile

Une courbe de tendance de moyenne mobile égalise les fluctuations des données afin de clarifier un motif ou une tendance. Une moyenne mobile utilise un nombre spécifique de points de données (définis par le biais de l’option Période), calcule une moyenne, puis utilise cette valeur comme un point de la courbe de tendance. Si la Période est égale à 2, par exemple, la moyenne des deux premiers points de données est utilisée en tant que premier point de la courbe de tendance de moyenne mobile. La moyenne du deuxième et du troisième point de données est utilisée comme le deuxième point de la courbe de tendance, etc.

Une courbe de tendance de moyenne mobile utilise l’équation suivante :

équation

Le nombre de points d’une courbe de tendance de moyenne mobile est égal au nombre total de points de la série, moins le nombre que vous spécifiez pour la période.

Dans un graphique en nuages de points, la courbe de tendance est basée sur l’ordre des valeurs X dans le graphique. Pour un résultat optimal, triez les valeurs X avant d’ajouter une moyenne mobile.

La courbe de moyenne mobile suivante illustre l’évolution du nombre de maisons vendues sur une période de 26 semaines.

Nuage de points avec courbe de tendance de moyenne mobile

Excel partie 8 : Formules matricielles

Excel Mode opératoire – Partie 5

Créer un tableau croisé dynamique pour analyser des données de feuille de calcul

Un tableau croisé dynamique est un outil puissant capable de calculer, de synthétiser et d’analyser des données, qui vous permet de voir des comparaisons, des motifs et des tendances dans vos données.

Créer un tableau croisé dynamique

  1. Sélectionnez les cellules à partir desquelles vous voulez créer un tableau croisé dynamique.

    Remarque :  Vos données ne peuvent pas comporter de lignes ou colonnes vides. Elles ne peuvent comporter qu’une seule ligne de titre.

  2. Sélectionnez Insertion > Tableau croisé dynamique.

    Tableau croisé dynamique

  3. Sous Choisissez les données à analyser, cliquez sur Sélectionner un tableau ou une plage

    Tableau croisé dynamique

  4. Dans Tableau/plage, vérifiez la plage de cellules.

  5. Sous Choisissez l’emplacement de votre rapport de tableau croisé dynamique, sélectionnez Nouvelle feuille de calcul pour placer le tableau croisé dynamique dans une nouvelle feuille de calcul Feuille de calcul existante, puis sélectionnez où le tableau croisé dynamique doit apparaître.

  6. Sélectionnez OK.

Création de votre tableau croisé dynamique

  1. Pour ajouter un champ à votre tableau croisé dynamique, activez la case à cocher du nom de champ dans le volet Champs de tableau croisé dynamique.

    Remarque : Les champs sélectionnés sont ajoutés à leur zone par défaut : les champs non numériques sont ajoutés à Lignes, les hiérarchies de date et d’heure sont ajoutées à Colonnes, et les champs numériques sont ajoutés à Valeurs.

    Tableau croisé dynamique

    2. Pour déplacer un champ d’une zone à une autre, faites-le glisser vers la zone cible.

 

Trier des données d’un tableau ou graphique croisé dynamique

Le tri de données est utile lorsque vous disposez de grandes quantités de données dans un tableau croisé dynamique. Vous pouvez effectuer le tri par ordre alphabétique, de la valeur la plus élevée à la moins élevée ou de la valeur la moins élevée à la plus élevée. Le tri vous permet d’organiser vos données de manière à retrouver plus facilement des éléments spécifiques qui nécessitent un niveau d’examen plus poussé.

Important : Voici quelques points à retenir sur le tri des données :

  • Les ordres de tri varient selon les paramètres régionaux. Assurez-vous que les paramètres régionaux corrects sont sélectionnés dans la boîte de dialogue Paramètres régionaux ou Options régionales et linguistiques du Panneau de configuration de votre ordinateur. Pour plus d’informations sur la modification des paramètres régionaux, consultez le système d’aide de Windows.

 

  • Des données contenant des espaces de début affectent les résultats du tri. Pour obtenir de meilleurs résultats, supprimez les espaces de début avant de trier les données.

 

  • Vous ne pouvez pas trier des entrées de texte qui respectent la casse.

 

  • Vous ne pouvez pas trier des données dans un format spécifique, tel que la couleur de cellule ou de police. De même, vous ne pouvez pas trier des indicateurs de mise en forme conditionnelle, tels que des jeux d’icônes.

     

Suivez ces étapes pour trier des données dans la version de bureau d’Excel :

  1. Dans un tableau croisé dynamique, cliquez sur la petite flèche en regard des cellules Étiquettes de ligneset Étiquettes de colonnes.
  2. Cliquez sur un champ dans la ligne ou la colonne à trier.
  3. Cliquez sur la flèche Flèche du menu déroulant Filtre Étiquettes de lignes ou Étiquettes de colonnes, puis sur l’option de tri souhaitée.

Filtre Étiquette de ligne

Pour trier des données par ordre croissant ou décroissant, cliquez sur Trier de A à Z ou sur Trier de Z à A

.Boutons Trier

Les entrées texte sont triées par ordre alphabétique, les nombres du plus petit au plus grand (et vice-versa) et les dates et les heures de la plus ancienne à la plus récente (et vice-versa).

Trier sur une colonne qui ne comporte pas de bouton flèche

Vous pouvez effectuer le tri sur des valeurs individuelles ou des sous-totaux en procédant comme suit : cliquez avec le bouton droit sur une cellule, sélectionnez Trier, puis choisissez une méthode de tri. L’ordre de tri est appliqué à toutes les cellules de même niveau dans la colonne qui contient la cellule.

Dans l’exemple ci-dessous, les données situées sous le niveau de la catégorie (Casque, Sac de voyage) sont triées par ordre alphabétique, de A à Z.

Tri par défaut sur les étiquettes de ligne

 

Pour afficher le tri des totaux généraux des produits (triés du plus grand au plus petit), sélectionnez un nombre quelconque dans la colonne Total général, et appliquez-lui le tri.

Tri du plus grand au plus petit sur les valeurs de la colonne Total général

 

Conseil : Pour trouver rapidement ce dont vous avez besoin, vous pouvez regrouper, filtrer ou appliquer une mise en forme conditionnelle au tableau croisé dynamique ou graphique croisé dynamique.

Définir des options de tri personnalisées

Pour trier des éléments spécifiques manuellement ou changer l’ordre de tri, vous pouvez définir vos propres options de tri :

Cliquez sur un champ dans la ligne ou la colonne à trier.

Cliquez sur la flèche Flèche du menu déroulant Filtre Étiquettes de lignes ou Étiquettes de colonnes, puis cliquez sur Autres options de tri.Filtre Étiquette de ligne

Dans la boîte de dialogue Trier, sélectionnez le type de tri souhaité :

Boîte de dialogue Trier

  • Cliquez sur Manuel pour réorganiser les éléments en les faisant glisser.

  • Vous ne pouvez pas faire glisser des éléments figurant dans la zone Valeurs de la liste de champs de tableau croisé dynamique.

  • Cliquez sur Ascendant (de A à Z) par ou Descendant (de Z à A) par, et choisissez le champ à trier.

  • Pour accéder à des options supplémentaires, cliquez sur Autres options, puis cliquez sur l’option souhaitée dans la boîte de dialogue Autres options de tri :

    Boîte de dialogue Autres options de tri

  • Dans Tri automatique, cochez ou décochez la case Trier automatiquement chaque fois que le rapport est actualisé pour autoriser ou arrêter le tri automatique quand les données du tableau croisé dynamique sont mises à jour.

  • Sous Première clé de l’ordre de tri, sélectionnez l’ordre personnalisé que vous voulez utiliser. Cette option est disponible uniquement quand la case Trier automatiquement chaque fois que le rapport est actualisé est décochée.

     

Excel partie 8 : Formules matricielles

Excel – Mode opératoire – Partie 4

Créer un graphique de bout en bout

Les graphiques vous permettent de visualiser vos données de façon à impressionner votre public. Découvrez comment créer un graphique et ajouter une courbe de tendance.

Créer un graphique

  1. Sélectionnez des données pour le graphique.
  2. Cliquez sur Insertion > Graphiques recommandés.
  3. Sous l’onglet Graphiques recommandés, sélectionnez un graphique pour en afficher l’aperçu.

Remarque : Vous pouvez sélectionner les données souhaitées dans le graphique et appuyer sur ALT + F1 pour créer un graphique immédiatement, mais il se peut qu’il ne s’agit pas du meilleur graphique pour les données. Si aucun graphique ne vous convient, sélectionnez l’onglet tous les graphiques pour afficher tous les types de graphiques.

  1. Sélectionnez un graphique.
  2. Sélectionnez OK.

 

Ajouter une courbe de tendance

  1. Sélectionnez un graphique.
  2. Sélectionnez Création > Ajouter un élément graphique.
  3. Sélectionnez Courbe de tendance, puis le type de courbe de tendance souhaité : par exemple, Linéaire, Exponentielle, Prévision linéaire ou Moyenne mobile.

Ajouter ou supprimer un axe secondaire dans un graphique à partir d’Excel

Lorsque les nombres d’un graphique varient considérablement de série de données aux séries de données, ou lorsque vous avez mélangé des types de données (Price et volume), tracez une ou plusieurs séries de données sur un axe vertical secondaire (valeurs). L’échelle de cet axe affiche les valeurs des séries de données qui lui sont associées. Un axe secondaire fonctionne bien dans un graphique affichant une combinaison d’histogrammes et de graphiques en courbes. Vous pouvez rapidement afficher un graphique comme celui-ci en convertissant votre graphique en graphique combiné.

Graphique combiné avec un axe secondaire

 

  1. Sélectionner un graphique pour ouvrir Outils de graphique.
  2. Sélectionnez Création > Modifier le type de graphique.
  3. Sélectionnez Graphique combiné > Histogramme groupé – courbe sur un axe secondaire.
  4. Sélectionnez Axe secondaire pour la série de données à afficher.
  5. Sélectionnez la flèche déroulante, puis choisissez Ligne.
  6. Sélectionnez OK.

Ajouter ou supprimer un axe secondaire dans un graphique dans Office 2010

Quand les valeurs dans un graphique 2D varient considérablement d’une série de données à une autre ou que différents types de données sont utilisés (par exemple, des prix et des volumes), vous pouvez tracer une ou plusieurs séries de données sur un axe vertical (ordonnées) secondaire. L’échelle de cet axe représente les valeurs des séries de données qui lui sont associées.

Combinaison de graphiques mise en forme

Après avoir ajouté un axe vertical secondaire à un graphique 2D, vous pouvez également ajouter un axe horizontal (abscisses) secondaire, qui peut être utile dans un graphique en nuages de points ou un graphique en bulles.

Pour mieux distinguer les séries de données tracées sur l’axe secondaire, vous pouvez modifier leur type de graphique. Par exemple, dans un histogramme, vous pouvez convertir les séries de données de l’axe secondaire en graphique en courbes.

Ajouter un axe vertical secondaire (Office 2010)

Vous pouvez tracer des données sur une axe vertical secondaire une série de données à la fois. Pour tracer plusieurs séries de données sur l’axe vertical secondaire, répétez cette procédure pour chacune.

Dans un graphique, cliquez sur la série de données que vous voulez tracer sur l’axe vertical secondaire ou sélectionnez la série de données voulue dans une liste d’éléments. Pour cela, procédez comme suit :

Cliquez sur le graphique.

Cela permet d’afficher les Outils de graphique et les onglets CréationDisposition et Format.

Sous l’onglet Mise en forme, dans le groupe Sélection active, cliquez sur la flèche située dans la zone Éléments de graphique, puis cliquez sur la série de données que vous voulez tracer sur l’axe vertical secondaire.

Image du ruban

Dans l’onglet Mise en forme, dans le groupe Sélection active, cliquez sur Mise en forme de la sélection.

La boîte de dialogue Mettre en forme des séries de données s’affiche.

Remarque : Si une autre boîte de dialogue s’affiche, répétez l’étape 1 et veillez à sélectionner une série de données sur le graphique.

Sous l’onglet Options des séries, sous Tracer la série avec, cliquez sur Axe secondaire, puis sur Fermer.

Un axe vertical secondaire apparaît sur le graphique.

Pour modifier l’affichage de l’axe vertical secondaire, procédez comme suit :

Dans l’onglet Disposition, dans le groupe Axes, cliquez sur Axes.

Cliquez sur Axe vertical secondaire, puis sur l’option d’affichage de votre choix.

Pour modifier les options de l’axe vertical secondaire, procédez comme suit :

Cliquez avec le bouton droit sur l’axe vertical secondaire, puis sur Format de l’axe.

Sous Options de l’axe, sélectionnez les options souhaitées.

Ajouter un axe horizontal secondaire (Office 2010)

Pour effectuer cette procédure, vous devez disposer d’un graphique qui affiche un axe vertical secondaire.

Cliquez sur un graphique qui comporte un axe vertical secondaire.

Cela permet d’afficher les Outils de graphique et les onglets CréationDisposition et Format.

Image du ruban

Sous l’onglet Disposition, dans le groupe Axes, cliquez sur Axes.

Cliquez sur Axe horizontal secondaire, puis sur l’option d’affichage de votre choix.

Modifier le type de graphique d’une série de données (Office 2010)
  1. Dans un graphique, cliquez sur la série de données que vous voulez modifier.

     

    Cela permet d’afficher les Outils de graphique et les onglets Création, Disposition et Format.

    Conseil : Vous pouvez également cliquer avec le bouton droit sur la série de données, cliquer sur Modifier le type de graphique de la série, puis passer à l’étape 3.

  2. Sous l’onglet Création, dans le groupe Type, cliquez sur Modifier le type de graphique.

    Image du ruban Excel

  3. Dans la boîte de dialogue Modifier le type de graphique, cliquez sur le type de graphique à utiliser.

    La première zone affiche une liste de catégories de type graphique, et la deuxième les types de graphiques disponibles pour chaque catégorie de type graphique. Pour plus d’informations sur les types de graphiques que vous pouvez utiliser,

Supprimer un axe secondaire (Office 2010)

Cliquez sur le graphique comportant l’axe secondaire que vous voulez supprimer.

Cela permet d’afficher les Outils de graphique et les onglets CréationDisposition et Mise en forme.

Sous l’onglet Disposition, dans le groupe Axes, cliquez sur Axes, sur Axe vertical secondaire ou Axe horizontal secondaire, puis sur l’option Aucun.

Image du ruban

Conseils : 

  • Vous pouvez également cliquer sur l’axe secondaire que vous voulez supprimer et appuyer sur Suppr, ou cliquer avec le bouton droit sur l’axe secondaire, puis sélectionner Supprimer.

  • Pour supprimer des axes secondaires immédiatement après les avoir ajoutés, cliquez sur Annuler Bouton Annuler dans la barre d’outils accès rapide, ou appuyez sur Ctrl + Z.

 

Graphique Colonne

Les données organisées en colonnes ou en lignes dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un histogramme. Un histogramme affiche généralement les catégories le long de l’axe horizontal (abscisses) et les valeurs le long de l’axe vertical (ordonnées), comme illustré dans ce graphique :

Histogramme groupé

Types d’histogrammes

  • Histogramme groupé et histogramme groupé en 3D

    Histogramme groupé et histogramme groupé en 3D

    Un histogramme groupé affiche les valeurs sous forme colonnes en 2D. Un histogramme groupé en 3D affiche les colonnes au format 3D, mais il n’utilise pas de troisième axe des valeurs (axe de profondeur). Utilisez ce graphique lorsque vous avez des catégories représentant :

    • des plages de valeurs (par exemple, des totaux d’éléments) ;
    • des ajustements d’échelle spécifiques (par exemple, une échelle Likert avec des entrées telles que Totalement d’accord, D’accord, Neutre, Pas d’accord, Totalement pas d’accord).
    • des noms qui ne sont pas dans un ordre spécifique (par exemple, des noms d’articles, des noms géographiques ou des noms de personnes).
  • Histogramme empilé et histogramme empilé en 3D     Un histogramme empilé affiche les valeurs sous forme de colonnes empilées en 2D. Un histogramme empilé 3D affiche les colonnes empilées au format 3D, mais n’utilise pas d’axe de profondeur. Utilisez ce graphique lorsque vous avez plusieurs série de données et que vous voulez mettre en évidence le total.

    Histogramme empilé et histogramme empilé en 3D

  • Histogramme empilé 100 % et histogramme empilé 100 % en 3D    Un histogramme empilé 100 % affiche les valeurs dans des colonnes en 2D qui sont empilées pour représenter 100 %. Un histogramme empilé 3D 100 % affiche les colonnes au format 3D, mais n’utilise pas d’axe de profondeur. Utilisez ce graphique lorsque vous disposez d’au moins deux séries de données dont vous voulez faire ressortir les contributions au total, notamment si le total est le même dans chaque catégorie.

    Histogramme empilé 100 % et histogramme empilé 100 % en 3D

  • Histogrammes en 3D    Les graphiques en histogrammes 3D utilisent trois axes que vous pouvez modifier (un axe horizontal, un axe vertical et un axe de profondeur), et ils comparent des points de données le long des axes horizontal et de profondeur. Utilisez ce graphique lorsque vous voulez comparer des données entre catégories et séries de données.

    Graphique en histogrammes 3D

Graphique courbe

Les données qui sont agencées dans des colonnes ou des lignes sur une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique en courbes. Dans un graphique en courbes, les données de catégorie sont distribuées de manière régulière le long de l’axe horizontal et toutes les données de valeurs sont distribuées de manière régulière le long de l’axe vertical. Les graphiques en courbes peuvent afficher des données continues sur une période donnée sur un axe mis à l’échelle de façon homogène et s’avèrent idéaux pour afficher les tendances des données à intervalles réguliers, comme les mois, les trimestres ou les années fiscales.

Graphique en courbes avec marques de données

Types de graphiques en courbes

  • Courbes et courbes avec marques de données    Qu’ils soient affichés avec ou sans marques pour indiquer des valeurs de données individuelles, les graphiques en courbes peuvent afficher les tendances au fil du temps ou des catégories espacées de façon uniforme, en particulier si vous avez de nombreux points de données et que l’ordre de leur affichage est important. S’il y a de nombreuses catégories ou que les valeurs sont approximatives, utilisez un graphique en courbes sans marques.

    Graphiques en courbes et graphiques en courbes avec marqueurs

  • Courbes empilées et courbes empilées avec marques de données    Qu’ils soient affichés avec ou sans marques pour indiquer des valeurs de données individuelles, les graphiques en courbes empilées permettent d’afficher la tendance de la contribution de chaque valeur sur une période donnée ou pour des catégories espacées de façon régulière.

    Graphiques en courbes empilées et graphiques en courbes empilées avec marques

  • Courbes empilées 100 % et courbes empilées 100 % avec des marques de données    Qu’ils soient affichés avec ou sans marques pour indiquer des valeurs de données individuelles, les graphiques en courbes empilées 100 % permettent d’afficher la tendance du pourcentage de contribution pour chaque valeur sur une période donnée ou pour des catégories espacées de façon régulière. S’il y a de nombreuses catégories ou que les valeurs sont approximatives, utilisez un graphique en courbes 100 % sans marques.

    Graphiques en courbes empilées 100 % et graphiques en courbes empilées 100 % avec marques

  • Courbes 3D    Les graphiques en courbes 3D affichent chaque ligne ou colonne de données sous forme d’un ruban en 3D. Un graphique en courbes 3D présente des axes horizontal, vertical et de profondeur que vous pouvez modifier.

    Graphique en courbes en 3D

    Remarques : 

    • Les graphiques en courbes fonctionnent de façon optimale lorsque vous avez plusieurs séries de données dans votre graphique ; si vous avez une seule série de données, envisagez d’utiliser un graphique en nuages de points à la place.

    • Les graphiques en courbes empilés additionnent les données, ce qui ne correspond peut-être pas au résultat attendu. Étant donné qu’il n’est peut-être pas facile de voir que les lignes sont empilées, envisagez d’utiliser à la place un autre type de graphique en courbes ou en aires empilées.

Graphique en secteur et en anneau

Les données qui sont agencées en une colonne ou une ligne dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique en secteurs. Les graphiques en secteurs représentent la taille des éléments d’une série de données par rapport à leur somme. Les points de données dans un graphique en secteurs sont représentés sous forme de pourcentage du graphique entier.

Graphique en secteurs

Il est conseillé d’utiliser un graphique en secteurs quand :

  • vous avez une seule série de données ;

  • aucune des valeurs dans vos données n’est négative ;

  • presqu’aucune des valeurs dans vos données n’est nulle ;

  • vous n’avez pas plus de sept catégories, qui représentent toutes des parties du graphique entier.

Types de graphiques en secteurs

  • Secteurs et secteurs en 3D    Les graphiques en secteurs affichent la contribution de chaque valeur par rapport à un total au format 2D ou 3D. Vous pouvez extraire manuellement des secteurs d’un graphique en secteurs afin de les mettre en valeur.

    Graphiques en secteurs et graphiques en secteurs en 3D

  • Secteurs de secteur et barre de secteurs    Les graphiques de type secteurs de secteur ou barres de secteur affichent des graphiques en secteurs avec des valeurs plus petites extraites dans un graphique secondaire en secteurs ou barres empilées, ce qui permet de les différencier plus facilement.

    Graphiques en secteurs de secteur et graphiques en barre de secteurs

Graphiques en anneaux

Les données qui sont agencées uniquement dans des colonnes ou des lignes dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique en anneaux. De même qu’un graphique en secteurs, un graphique en anneaux représente la relation des différentes parties par rapport au total, mais il peut contenir plusieurs série de données.

Graphique en anneau

Types de graphiques en anneaux

  • Anneau    Les graphiques en anneaux affichent les données en anneaux, où chaque anneau représente une série de données. Si les pourcentages sont affichés dans des étiquettes de données, chaque anneau totalise 100 %.

    Graphique en anneau

    Remarque : Les graphiques en anneaux ne sont pas très lisibles. Il est possible que vous souhaitiez utiliser un histogramme empilé ou un graphique à barres empilées.

Graphique à barre

Les données qui sont agencées dans des colonnes ou des lignes dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique à barres. Ce type de graphique permet de représenter les comparaisons entre différents éléments. Dans un graphique à barres, les catégories sont généralement disposées le long de l’axe vertical, et les valeurs le long de l’axe horizontal.

Graphique à barres

Il est conseillé d’utiliser un graphique à barres lorsque :

  • les étiquettes des axes sont longues;

  • les valeurs affichées sont des durées.

Types de graphiques à barres

  • Barres groupées et barres groupées en 3D    Un graphique à barres groupées affiche les barres au format 2D. Un graphique à barres groupées 3D affiche les barres au format 3D ; il n’utilise pas d’axe de profondeur.

    Graphiques à barres groupées et graphiques à barres groupées en 3D

  • Barres empilées et barres empilées en 3D    Les graphiques à barres empilées affichent la relation qui existe entre un tout et ses éléments individuels dans des barres en 2D. Un graphique à barres empilées 3D affiche les barres au format 3D ; il n’utilise pas d’axe de profondeur.

    Graphiques à barres empilées et graphiques à barres empilées en 3D

  • Barres empilées 100 % et barres empilées 100 % en 3D    Une barre empilée 100 % affiche des barres en 2D qui comparent le pourcentage de contribution de chaque valeur par rapport à un total entre catégories. Un graphique à barres empilées 3D affiche les barres au format 3D ; il n’utilise pas d’axe de profondeur.

    Graphiques à barres empilées 100 % et graphiques à barres empilées 100 % en 3D

Graphiques en aires

Les données organisées en colonnes ou en lignes dans une feuille de calcul peuvent être tracées dans un graphique en aires. Les graphiques en aires peuvent être utilisés pour tracer les modifications sur une période donnée et attirer l’attention sur la valeur totale pour une tendance. Ce type de graphique, qui affiche la somme des valeurs tracées, indique également la relation qui existe entre un tout et ses différentes parties.

Graphique en aires

Types de graphiques en aires

  • Aires et aires en 3D    Qu’ils soient représentés au format 2D ou 3D, les graphiques en aires affichent la tendance de valeurs sur une période donnée ou d’autres données de catégories. Les graphiques en aires 3D utilisent trois axes (horizontal, vertical et profondeur) que vous pouvez modifier. En règle générale, envisagez d’utiliser un graphique en courbes au lieu d’un graphique en aires non empilées, car les données d’une série peuvent être masquées par les données d’une autre série.

    Graphiques en aires et graphiques en aires en 3D

  • Aires empilées et aires empilées en 3D    Les graphiques en aires empilées affichent la tendance de la contribution de chaque valeur sur une période donnée ou d’autres données de catégorie au format 2D. Un graphique en aires empilées 3D fait de même, mais il affiche les aires au format 3D sans utiliser d’axe de profondeur.

    Graphiques en aires empilées et graphiques en aires empilées en 3D

  • Aires empilées 100 % et aires empilées 100 % en 3D    Les graphiques en aires empilées 100 % affichent la tendance de contribution en pourcentage pour chaque valeur sur une période donnée ou d’autres données de catégorie. Un graphique en aires empilées 100 % 3D fait de même, mais il affiche les aires au format 3D sans utiliser d’axe de profondeur.

    Graphiques en aires empilées 100 % et graphiques en aires empilées 100 % en 3D

Graphique en nuages de points (XY) et en bulles

Les données qui sont agencées dans des colonnes et des lignes dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique en nuages de points (XY). Placez les valeurs x dans une ligne ou colonne, puis entrez les valeurs y correspondantes dans les lignes ou colonnes adjacentes.

Un graphique en nuages de points comporte deux axes de valeurs : un axe horizontal (x) et un axe vertical (y). Il associe les valeurs x et y en points de données uniques et les affiche à des intervalles irréguliers ou des groupes. Les graphiques en nuages de points sont généralement utilisés pour afficher et comparer des valeurs numériques, telles que des données scientifiques, statistiques et d’ingénierie.

Graphique en nuages

Il est conseillé d’utiliser un graphique en nuages de points lorsque :

  • vous souhaitez changer l’échelle de l’axe horizontal ;

  • vous souhaitez que l’axe horizontal soit une échelle logarithmique ;

  • les valeurs de l’axe horizontal ne sont pas régulièrement espacées ;

  • l’axe horizontal comporte de nombreux points ;

  • vous souhaitez ajuster les échelles d’axes indépendants d’un graphique en nuage de points pour fournir plus d’informations sur les données incluant des paires ou des ensembles groupés de valeurs ;

  • vous souhaitez afficher les similitudes entre les grands ensembles de données au lieu des différences entre les points de données ;

  • vous souhaitez comparer plusieurs points de données quelle que soit la période ; plus vous incluez de données dans un graphique en nuages de points, plus les comparaisons sont satisfaisantes.

Types de graphiques en nuages

  • Nuage de points    Ce graphique affiche les points de données sans connecter les lignes pour comparer des paires de valeurs.

    Graphique en nuages

  • Nuage de points avec courbes lissées et marques de données, et nuage de points avec courbes lissées    Ce graphique affiche une courbe lissée qui connecte les points de données. Les courbes lissées peuvent être affichées avec ou sans marqueurs. Utilisez une courbe lissée sans marqueurs s’il y a de nombreux points de données.

    Nuage de points avec courbes lissées et marqueurs, et nuage de points avec courbes lissées

  • Nuage de points avec lignes droites et marqueurs, et nuage de points avec des lignes droites    Ce graphique montre les lignes de connexion entre les points de données. Les lignes droites peuvent être affichées avec ou sans marqueurs.

    Nuage de points avec des lignes droites et marqueurs, et nuage de points avec des lignes droites

.

Graphique en bulles

Tout comme un graphique en nuages, un graphique en bulles ajoute une troisième colonne pour spécifier la taille des bulles utilisées pour représenter les points de données dans les séries de données.

Graphique en bulles

Type de graphiques en bulles

  • Bulles ou bulles avec effet 3D    Ces deux types de graphiques en bulles comparent des ensembles de trois valeurs au lieu de deux et affichent les bulles au format 2D ou 3D (sans utiliser d’axe de profondeur). La troisième valeur spécifie la taille du marqueur de bulle.

    Graphiques en bulles et graphiques en bulles avec effet 3D

Graphique boursier

Les données qui sont agencées dans des colonnes ou des lignes dans un ordre précis dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique boursier. Comme leur nom l’indique, les graphiques boursiers permettent d’afficher les fluctuations des cours boursiers. Cependant, ils peuvent aussi être utilisés pour afficher des fluctuations d’autres données, comme les précipitations quotidiennes ou les températures annuelles. Veillez à disposer vos données dans l’ordre correct pour créer un graphique boursier.

Par exemple, pour créer un graphique boursier simple comportant Max-Min-Clôture, agencez vos données dans des colonnes intitulées Max., Min. et Clôture, dans cet ordre.

Graphique boursier

Types de graphiques boursiers

  • Max-Min-Clôture    Ce graphique boursier utilise trois séries de valeurs dans l’ordre suivant : Maximum, Minimum et Clôture.

    Graphique boursier Max-Min-Clôture

  • Ouverture-Max-Min-Clôture    Ce graphique boursier utilise quatre séries de valeurs dans l’ordre suivant : Ouverture, Maximum, Minimum, puis Clôture.

    Graphique boursier Ouverture-Max-Min-Clôture

  • Volume-Max-Min-Clôture    Ce graphique boursier utilise quatre séries de valeurs dans l’ordre suivant : Volume, Maximum, Minimum, puis Clôture. Il mesure le volume à l’aide de deux axes des ordonnées : un pour les colonnes qui mesurent le volume et l’autre pour les cours des valeurs.

    Graphique boursier Volume-Max-Min-Clôture

  • Volume-Ouverture-Max-Min-Clôture    Ce graphique boursier utilise cinq séries de valeurs dans l’ordre suivant : Volume, Ouverture, Maximum, Minimum, puis Clôture.

    Graphique boursier Volume-Ouverture-Max-Min-Clôture

Graphique en surface

Les données qui sont agencées dans des colonnes ou des lignes dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique en surface. Ce graphique permet de rechercher les meilleures combinaisons entre deux ensembles de données. Comme sur une carte topographique, les couleurs et les formes indiquent les zones qui sont dans la même plage de valeurs. Vous pouvez créer un graphique en surface lorsque les catégories et les séries de données sont des valeurs numériques.

Graphique en surface

Types de graphiques en surface

  • Surface en 3D    Ce graphique présente une vue 3D des données, que vous pouvez imaginer comme une feuille élastique étendue sur un histogramme 3D. Il est généralement utilisé pour montrer les relations entre de grands volumes de données, qu’il serait difficile de voir autrement. Les bandes de couleurs d’un graphique en surface ne représentent pas la série de données : elles indiquent la différence entre les valeurs.

    Graphique en surface en 3D

  • Surface 3D avec structure apparente    Le graphique en surface en 3D est affiché sans couleur sur la surface; il s’agit d’un graphique en surface 3D avec structure apparente. Ce graphique affiche uniquement les lignes. Un graphique en surface en 3D avec structure apparente n’est pas facile à lire, mais il peut tracer des jeux de données volumineux plus rapidement qu’un graphique en surface en 3D.

    Graphique en surface en 3D avec structure apparente

  • Contour    Les graphiques avec contour sont des graphiques en surface vus du dessus, comme des cartes topographiques en 2D. Dans un graphique avec contour, les bandes de couleurs représentent des plages de valeurs spécifiques. Les traits dans un graphique en surface avec contour connectent des points interpolés de valeur égale.

    Graphique avec contour

  • Avec contour filaire    Les graphiques avec contour filaire sont également des graphiques en surface vus du dessus. Dépourvu de bandes de couleur sur la surface, un graphique avec structure apparente n’affiche que les lignes. Les graphiques avec contour filaire ne sont pas faciles à lire. Vous souhaiterez peut-être utiliser plutôt un graphique en surface en 3D.

    Graphique avec contour filaire

Graphique en radar

Les données organisées en colonnes ou en lignes dans une feuille de calcul peuvent être représentées dans un graphique en radar. Les graphiques en radar comparent les valeurs agrégées de plusieurs série de données.

Graphique en radar

Types de graphiques en radar

  • Radar et radar avec marquage des données    Avec ou sans marquage de chaque point de données, les graphiques en radar représentent les variations des valeurs par rapport à un point central.

    Graphiques en radar et graphiques en radar avec marqueurs

  • Radar plein    Dans un graphique en radar plein, la zone couverte par une série de données est colorée.

    Graphique en radar plein

Excel partie 8 : Formules matricielles

Excel – Mode opératoire – Partie 3

Application d’une validation des données aux cellules

La validation des données permet de limiter le type de données ou les valeurs que les utilisateurs peuvent entrer dans une cellule. Une des utilisations les plus courantes de la validation des données consiste à créer une liste déroulante.

  1. Sélectionnez les cellules pour lesquelles vous voulez créer une règle.

  2. Sélectionnez validation de données >Data.

    Validation des données

  3. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
    • Nombre entier : pour que la cellule accepte uniquement des nombres entiers.
    • Décimal : pour que la cellule accepte uniquement des nombres décimaux.
    • Liste : pour choisir des données dans la liste déroulante.
    • Date : pour que la cellule accepte uniquement des dates.
    • Durée : pour que la cellule accepte uniquement des heures.
    • Longueur du texte : pour limiter la longueur du texte.
    • Personnalisé : pour une formule personnalisée.
  4.  Sous Données, sélectionnez une condition :
    • entre
    • non comprise entre
    • égal à
    • différent de
    • supérieur à
    • inférieur à
    • supérieur ou égal à
    • inférieur ou égal à
  5. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
  6. Définissez les autres valeurs requises, en fonction de ce que vous avez choisi pour Autoriser et Données. Par exemple, si vous sélectionnez entre, sélectionnez les valeurs minimum: et maximum: pour la ou les cellules.
  7. Si vous voulez ignorer les espaces vides, activez la case à cocher Ignorer si vide.
  8. Si vous voulez ajouter un titre et un message à votre règle, sélectionnez l’onglet message de saisie , puis tapez un titre et un message.
  9. Activez la case à cocher Quand la cellule est sélectionnée pour que le message s’affiche lorsque l’utilisateur sélectionne les cellules sélectionnées ou pointe sur celles-ci.
  10. Sélectionnez OK.

    À présent, si l’utilisateur essaie d’entrer une valeur qui n’est pas valide, une fenêtre contextuelle affiche un message similaire à « Cette valeur ne respecte pas les restrictions de validation des données de cette cellule ».

Créer une liste déroulante

La validation des données permet de limiter le type de données ou les valeurs que les utilisateurs peuvent entrer dans une cellule. Une des utilisations les plus courantes de la validation des données consiste à créer une liste déroulante.

  1. Sélectionnez les cellules pour lesquelles vous voulez créer une règle.

    Validation des données

  1. Sélectionnez validation de données >Data.
  2. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
    • Nombre entier : pour que la cellule accepte uniquement des nombres entiers.
    • Décimal : pour que la cellule accepte uniquement des nombres décimaux.
    • Liste : pour choisir des données dans la liste déroulante.
    • Date : pour que la cellule accepte uniquement des dates.
    • Durée : pour que la cellule accepte uniquement des heures.
    • Longueur du texte : pour limiter la longueur du texte.
    • Personnalisé : pour une formule personnalisée.
  3.  Sous Données, sélectionnez une condition :
    • entre
    • non comprise entre
    • égal à
    • différent de
    • supérieur à
    • inférieur à
    • supérieur ou égal à
    • inférieur ou égal à
  4. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
  5. Définissez les autres valeurs requises, en fonction de ce que vous avez choisi pour Autoriser et Données. Par exemple, si vous sélectionnez entre, sélectionnez les valeurs minimum: et maximum: pour la ou les cellules.
  6. Si vous voulez ignorer les espaces vides, activez la case à cocher Ignorer si vide.
  7. Si vous voulez ajouter un titre et un message à votre règle, sélectionnez l’onglet message de saisie , puis tapez un titre et un message.
  8. Activez la case à cocher Quand la cellule est sélectionnée pour que le message s’affiche lorsque l’utilisateur sélectionne les cellules sélectionnées ou pointe sur celles-ci.
  9. Sélectionnez OK.

    À présent, si l’utilisateur essaie d’entrer une valeur qui n’est pas valide, une fenêtre contextuelle affiche un message similaire à « Cette valeur ne respecte pas les restrictions de validation des données de cette cellule ».

Créer une liste déroulante

La validation des données permet de limiter le type de données ou les valeurs que les utilisateurs peuvent entrer dans une cellule. Une des utilisations les plus courantes de la validation des données consiste à créer une liste déroulante.

  1. Sélectionnez les cellules pour lesquelles vous voulez créer une règle.

    Validation des données

  1. Sélectionnez validation de données >Data.
  2. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
    • Nombre entier : pour que la cellule accepte uniquement des nombres entiers.
    • Décimal : pour que la cellule accepte uniquement des nombres décimaux.
    • Liste : pour choisir des données dans la liste déroulante.
    • Date : pour que la cellule accepte uniquement des dates.
    • Durée : pour que la cellule accepte uniquement des heures.
    • Longueur du texte : pour limiter la longueur du texte.
    • Personnalisé : pour une formule personnalisée.
  3.  Sous Données, sélectionnez une condition :
    • entre
    • non comprise entre
    • égal à
    • différent de
    • supérieur à
    • inférieur à
    • supérieur ou égal à
    • inférieur ou égal à
  4. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
  5. Définissez les autres valeurs requises, en fonction de ce que vous avez choisi pour Autoriser et Données. Par exemple, si vous sélectionnez entre, sélectionnez les valeurs minimum: et maximum: pour la ou les cellules.
  6. Si vous voulez ignorer les espaces vides, activez la case à cocher Ignorer si vide.
  7. Si vous voulez ajouter un titre et un message à votre règle, sélectionnez l’onglet message de saisie , puis tapez un titre et un message.
  8. Activez la case à cocher Quand la cellule est sélectionnée pour que le message s’affiche lorsque l’utilisateur sélectionne les cellules sélectionnées ou pointe sur celles-ci.
  9. Sélectionnez OK.

    À présent, si l’utilisateur essaie d’entrer une valeur qui n’est pas valide, une fenêtre contextuelle affiche un message similaire à « Cette valeur ne respecte pas les restrictions de validation des données de cette cellule ».

Excel partie 8 : Formules matricielles

Excel – Mode opératoire – Partie 2

Présentation des tableaux Excel

Pour faciliter la gestion et l’analyse d’un groupe de données connexes, vous pouvez transformer un plage de cellules en tableau Excel (anciennement liste Excel).

Exemple de données mises en forme en tant que tableau Excel

Remarques :

  • Il ne faut pas confondre les tableaux Excel avec les tables de données qui font partie d’une série de commandes d’analyse de simulation. Pour plus d’informations sur les tables de données.
  • Vous ne pouvez pas créer ou insérer des tableaux dans un classeur partagé.

 

En savoir plus sur les éléments d’un tableau Excel

Un tableau peut inclure les éléments suivants :

Ligne d’en-tête    Par défaut, une table comporte une ligne d’en-tête. Le filtrage de chaque colonne de table est activé dans la ligne d’en-tête afin de pouvoir filtrer ou trier rapidement les données de votre tableau.

 

Trier ou appliquer un filtre au tableau

 

Vous pouvez désactiver la ligne d’en-tête dans un tableau.

Lignes à bandes    Une trame de fond alternative ou des bandes en lignes permettent de mieux distinguer les données.

 

Tableau Excel avec données d’en-tête, mais non sélectionné avec l’option Mon tableau comporte des en-têtes et donc, Excel a ajouté des noms d’en-tête par défaut tels que Colonne1, Colonne2.

 

Colonnes calculées    En entrant une formule dans une cellule d’une colonne de tableau, vous pouvez créer une colonne calculée dans laquelle cette formule est instantanément appliquée à toutes les autres cellules de cette colonne.

 

Ajouter une seule formule dans une cellule de tableau qui s'exécute de manière automatique pour créer une colonne calculée

 

Ligne Total    Une fois que vous avez ajouté une ligne total à une table, Excel vous propose une liste déroulante somme automatique pour effectuer une sélection parmi les fonctions telles que somme, moyenne, etc. Lorsque vous sélectionnez l’une de ces options, le tableau les convertit automatiquement en sous-total, ce qui a pour effet d’ignorer les lignes masquées par défaut dans un filtre. Si vous souhaitez inclure des lignes masquées dans vos calculs, vous pouvez modifier les arguments de la fonction sous.

Exemple de sélection d’une formule de ligne des totaux à partir de la liste déroulante des formules de ligne des totaux

 

 

Poignée de redimensionnement    Une poignée de redimensionnement située dans le coin inférieur droit vous permet de redimensionner le tableau à la taille voulue

.Faire glisser la poignée de redimensionnement pour redimensionner le tableau

Créer des tables dans une base de données

Vous pouvez créer autant de tables que vous le souhaitez dans une feuille de calcul.

Pour créer rapidement un tableau dans Excel, procédez comme suit:

  1. Sélectionnez la cellule ou la plage dans les données.
  2. Sélectionnez Accueil > Mettre sous forme de tableau.
  3. Sélectionnez un style de tableau.
  4. Dans la boîte de dialogue mettre sous forme de tableau, activez la case à cocher en regard de mon tableau si vous voulez que la première ligne de la plage soit la ligne d’en-tête, puis cliquez sur OK.

Travailler efficacement avec les données de votre tableau

Excel propose des fonctionnalités qui vous permettent de travailler efficacement avec les données de votre tableau:

  • Utilisation de références structurées    Au lieu d’utiliser des références de cellule, comme A1 et L1C1, vous pouvez utiliser des références structurées qui font référence à des noms de tableaux dans une formule.
  • Garantir l’intégrité des données     Vous pouvez utiliser la fonctionnalité de validation des données intégrée dans Excel. Par exemple, vous pouvez choisir de n’autoriser que des nombres ou des dates dans une colonne d’une table.

Totaliser les données d’un tableau Excel

Vous pouvez rapidement additionner des données dans un tableau Excel en activant l’option de ligne Total , puis utilisez l’une des différentes fonctions fournies dans une liste déroulante pour chaque colonne de tableau. Les sélections de ligne total par défaut utilisent la fonction totale  qui vous permet d’inclure ou d’ignorer des lignes de tableau masquées, mais vous pouvez également utiliser d’autres fonctions.

  1. Cliquez n’importe où dans le tableau.

  2. Accédez à Outils de tableau > Création, puis activez la case à cocher pour Ligne des totaux.

    Option Ligne des totaux dans l’onglet Création

  3. La ligne des totaux est insérée dans la partie inférieure de votre tableau.

    Tableau Excel avec option Ligne des totaux activée

    Remarque : Si vous appliquez des formules à une ligne des totaux, puis désactivez et activez cette ligne des totaux, Excel mémorise vos formules. Dans l’exemple précédent, nous avions déjà appliqué la fonction SOMME à la ligne des totaux. Lorsque vous appliquez une ligne des totaux pour la première fois, les cellules sont vides.

  4. Sélectionnez la colonne dont vous souhaitez calculer les totaux, puis sélectionnez une option dans la liste déroulante. Dans ce cas, nous avons appliqué la fonction SOMME à chaque colonne :

    Exemple de sélection d’une formule de ligne des totaux à partir de la liste déroulante des formules de ligne des totaux

    Vous noterez qu’Excel a créé la formule suivante : =SOUS.TOTAL(109,[Centre]). Il s’agit d’une fonction SOUS.TOTAL pour SOMME, et d’une formule de référence structurée réservée aux tableaux Excel.

    Vous pouvez également appliquer une fonction différente à la valeur totale en sélectionnant l’option Plus de fonctions ou en créant votre propre fonction.

    Remarque : Si vous souhaitez copier une formule de ligne des totaux dans une cellule adjacente à la ligne des totaux, faites glisser la formule à l’aide de la poignée de recopie. Les références de colonnes sont alors mises à jour en conséquence et affichent la valeur qui convient. Si vous copiez et collez une formule dans la ligne des totaux, elle ne met pas à jour les références de colonnes et génère des valeurs incorrectes.

Utiliser des colonnes calculées dans un tableau Excel

Colonnes calculées dans les tableaux Excel sont un outil incroyables pour la saisie de formules efficacement. Ils permettent de saisir une seule formule dans une cellule et puis cette formule se développe automatiquement pour le reste de la colonne en lui-même. Il est inutile d’utiliser les commandes remplir ou copier. Cela peut être très gagner du temps, surtout si vous avez un grand nombre de lignes. Et la même chose qui se passe lorsque vous modifiez une formule ; la modification complet s’affiche également dans le reste de la colonne calculée.

Créer une colonne calculée

  1. Créer une table. Si vous n’êtes pas familiarisé avec des tableaux Excel, vous pouvez en savoir plus sur : Présentation des tableaux Excel.

Insérer une nouvelle colonne dans la table. Vous pouvez le faire en tapant dans la colonne située immédiatement à droite de la table, puis Excel étend automatiquement le tableau pour vous. Dans cet exemple, nous avons créé une nouvelle colonne en tapant « Total général » dans la cellule D1.

Ajouter une nouvelle colonne du tableau en tapant dans la colonne vide immédiatement à droite d’une table existante

Conseils :

  • Vous pouvez également ajouter une colonne de tableau à partir de l’onglet accueil . Cliquez sur la flèche pour Insérer > Insérer des colonnes de tableau à gauche.

    Pour ajouter une colonne de tableau à partir de l’onglet Accueil, cliquez sur la flèche d’insertion > Insérer des colonnes de tableau à gauche.

 

  1. Tapez la formule que vous souhaitez utiliser, puis appuyez sur entrée.

    Ajouter une seule formule dans une cellule de tableau qui sera la saisie semi-automatique pour créer une colonne calculée

    Dans ce cas, nous avons entré = Somme (, puis choisi les colonnes Trim 1 et 2 Trim . Par conséquent, Excel intégré la formule : = Somme (Table1 [@[Trim 1] : [Trim 2]]). Il s’agit d’une formule de référence structurée , qui est unique aux tables Excel. Le format de référence structurée est ce qui permet la table à utiliser la même formule pour chaque ligne. Une formule Excel normale pendant ce serait =Somme(B2:C2)dont vous devez alors copie ou remplissage vers le bas pour le reste des cellules dans la colonne

  2. Lorsque vous appuyez sur entrée, la formule est automatiquement appliquée aux cellules de la colonne — au-dessus et au-dessous de la cellule où vous avez entré la formule. La formule est identique pour chaque ligne, mais comme il s’agit d’une référence structurée, Excel sait en interne quelle ligne est qui.

    Exemple d’une formule contenant autofilled pour créer une colonne calculée dans un tableau

Remarques :

  • Il est également possible de créer une colonne calculée en remplissant ou en copiant une formule dans toutes les cellules d’une colonne de tableau vide.
  • Si vous tapez ou déplacez une formule dans une colonne de table qui contient déjà des données, une colonne calculée n’est pas automatiquement créée. Toutefois, le bouton Options de correction automatique s’affiche pour vous permettre de remplacer les données afin que vous pouvez créer une colonne calculée.

    Option pour remplacer les formules existantes dans une colonne calculée lorsqu’une formule est différente de celle du reste

Si vous entrez une nouvelle formule est la différence entre les formules existantes dans une colonne calculée, la colonne met automatiquement à jour avec la nouvelle formule. Vous pouvez choisir Annuler la mise à jour, puis conserver uniquement la nouvelle formule unique à partir du bouton Options de correction automatique. Ceci est généralement pas recommandé, car cela peut empêcher la mise à jour automatique à l’avenir, car il ne sait pas quelle est la formule pour étendre lors de l’ajout de nouvelles lignes de la colonne.

Option pour annuler une colonne calculée après l’avoir une formule a été entrée

  • Si vous avez tapé ou copié une formule dans une cellule d’une colonne vide et ne souhaitez pas conserver la nouvelle colonne calculée, cliquez sur Annuler Bouton Annuler à deux reprises. Vous pouvez également appuyer sur Ctrl + Z à deux reprises

error: Content is protected !!