Maitriser son temps de travail et son organisation ( Partie 1)

Maitriser son temps de travail et son organisation ( Partie 1)

Votre temps c’est vous !

« Le temps c’est de l’argent ! » dit la sagesse populaire. Mais le temps c’est bien plus que cela.

Il est l’ensemble de vos actes. Votre temps c’est votre vie, l’utilisation que vous en faites, et la mesure de son écoulement inexorable. 

Le temps est une ressource précieuse. Précieuse parce qu’elle ne peut se stocker. Même si vous n’en faites rien, le temps est malgré tout dépensé. Le temps est une ressource rare. Rare parce que limitée. Et s’il ne s’empreinte ni ne s’achète. Tout cela vaut bien de consacrer un peu de temps à votre temps.

Ce qui intéresse l’être humain lorsqu’il quitte son masque professionnel dynamique, c’est de profiter de la vie. Pour cela il n’y  a pas de secrets : il y a des moyens simples.

Le premier d’entre eux n’est pas de gagner du temps, mais de ne pas en perdre bêtement. Les personnes âgées ne parlent pas d’autres choses quand elles disent : « La vie est si courte… »

Débordés par  les urgences, subissant les nombreuses sollicitations de notre environnement professionnel, surcharges par un travail qui empiète sur la vie privée, le temps nous manque et nous obsède.

Gagner du temps est à la portée de tous, a condition de lever les yeux du quotidien et de regarder la route, sa route.

Bien sur, il n’est pas facile de gagner du temps dans l’absolu. Nos journées n’auront jamais plus de vingt-quatre heures.

Le temps est relatif, il n’a de sens que par rapport à l’utilisation que nous en faisons. Une heure passée à réaliser des activités importantes n’a pas la même valeur qu’une heure dépensée dans des futilités.

Gagner du temps, c’est alors déterminer ce qui est essentiel et y consacrer tout son temps.

Gagner du temps, c’est aussi l’économiser en réduisant, refusant délégant, reportant la réalisation d’activités secondaires ou accessoires.

Gagner du temps, c’est enfin le maîtriser par l’emploi de techniques et d’outils adaptés.

 

Prendre en main son temps :

Les insatisfactions produites par une mauvaise gestion du temps sont autant d’incitations à changer.

Quatre axes sont à prospecter pour engager des améliorations :

 

  1. Soi et sa relation au temps
  2. L’organisation personnelle et ses outils
  3. Sa relation aux autres
  4. L’organisation de l’équipe et ses méthodes

Les symptômes d’une gestion du temps insatisfaisante

 

La difficulté à maîtriser son temps prend plusieurs formes :

 

  • Une charge de travail trop importante ou considérer comme telle. La conséquence est que le temps de travail s’allonge, il y a insatisfaction car les activités personnelles et la vie de famille sont pénalisées :
  • Des retards, des remises, des défections, des traitements expéditifs ;
  • Avoir le sentiment, en fin de journée chargée, de n’avoir rien fait d’important ;
  • Quand on ne sait pas par où commencer l’ensemble des tâches à réaliser. En faisant une chose, penser à plusieurs autres en essayant en fait de tout faire à la fois.
  • Quand on a l’impression d’être le « pompier de service », de réagir plutôt que d’agir, d’être constamment soumis aux urgences ; d’où la pression (en général la personne devient obsédée par l’idée de se dépêcher) et une impression de ne pas pouvoir s’en sortir.
  • Quand une activité est subie, imposée par d’autres, sans pouvoir en assurer toutes les responsabilités et en délaissant par manque de disponibilité certaines taches essentielles à sa fonction.
  • Ces descriptions sont un guide pour cerner votre propre comportement, mais elles sont à compléter par une identification des causes d’une gestion du temps insatisfaite.

Les axes de réflexion pour gagner du temps

 

La Relation personnelle au Temps

  • Engager une démarche pour « gagner du temps » c’est d’abord se connaître mieux, autrement c’est l’échec.
  • Modifier sa façon de gérer son temps, se changer soi-même

Il va donc falloir cerner et remettre en cause ses comportements, ses routines, ses habitudes, ses complaisances

La Relation aux autres

Une bonne partie de notre temps est consacrée à la relation avec notre entourage : nous risquons de laisser les autres envahir notre temps.

En effet, les « voleurs de temps » dérangent pour des futilités, pour converser de la pluie et du beau temps, vous sollicitent pour régler leurs problèmes, vous surchargent de travail, vous téléphonent de manières intempestives, vous invitent à des réunions marathon mal préparées, inutiles etc…

Si nous ne fixons pas de limites, nous serons mis à contribution au détriment de nos activités

 

L’organisation personnelle

  • C’est définir ses priorités pour y consacrer l’essentiel de son temps
  • Trop souvent, notre temps est investit dans des activités secondaires; c(est la  une confusion entre être affaire et être efficace.
  • Plus vous vous concentrez sur vos objectifs majeurs, vos taches les plus rentables, plus vous serez efficace.
  • Alors « Gagner du Temps », c’est choisir de faire maintenant ou faire plus tard.
  • Les priorités donnent le sens de notre action et les projets que nous élaborons s’inscrivent dans la Direction.

Une fois ce travail accompli, s’organiser va consister à programmer dans le temps la réalisation de nos taches en utilisant des outils.

…/…. à suivre

 

L’art d’agir au bon niveau

L’art d’agir au bon niveau

L’art d’agir au bon niveau

Nous savons qu’au moment ou le problème se pose, plus exactement au moment ou on le vit, de nombreux éléments sont présents en nous et interagissent fortement. Ils sont souvent à ce point compliqué qu’il nécessite pour nous permettre d’y voir plus clair, l’usage d’une technique de questionnements guidés et l’application d’une écoute spécifique, l’écoute codée. Les problèmes ont toujours un contenu qui permet de les situer sur « l’échelle des niveaux logiques ». Cette classification comporte généralement sept niveaux, qui peuvent tantôt désigner des « espaces problèmes » et/ou « des espaces ressources » de changement.

Dans l’ordre il s’agit

 

1 –  la mission de vie
2 –  l’identité
3 – les valeurs
4 – les stratégies
5 – les capacités
6 – les comportements
7 – l’environnement

Chaque niveau est organisé par le contenu des informations du niveau immédiatement supérieur. Nous agissons sur l’environnement au moyen de nos comportements, lesquels sont dirigés par nos capacités, qui constituent l’ensemble  de nos savoirs faire. Nos capacités sont guidées par nos stratégies mentales. Ces stratégies sont pilotées par nos valeurs et nos croyances. Nos valeurs et croyances quant à elles, sont organisées par notre identité, qui s’alimente à son tour au contenu de notre mission de vie. Il existe donc 7 niveaux ou le problème peut prendre  racine.

Chaque niveau concerné désigne, le niveau ou doit être cherchée la solution.

1/ le problème né dans le niveau de l’environnement, le contexte qui l’alimente. Exemple : un immeuble se construit en face de votre appartement et vous bouche la vue imprenable dont vous disposez jusqu’à présent. La solution réside dans le comportement que vous allez adopter (niveau directement supérieur).

2/ Un problème lié de vos comportements,  vos attitudes, vos émotions, vos ressentis internes. Exemple : vous remarquez que vous avez des difficultés à prendre des décisions, tant et si bien que vous vous arrangez toujours pour que d’autres décident… quitte à ce que vous exprimiez ensuite votre désaccord ou votre gêne si ce qui a été décidé ne vous convient pas tout à fait. La solution consiste à apprendre à décider, à disposer de cette capacité toute particulière à poser un choix et de le mettre en action.

3/ Un problème lié à vos capacités, vos compétences, vos aptitudes exprimées à ce moment-là, dans la situation. Exemple : vous remarquez que vous avez des difficultés à tenir vos engagements en temps et en heure. Vous promettez beaucoup, vous faites tout votre possible, mais vous découvrez que vous êtes souvent en « surbooking ». La solution consiste à adopter une stratégie mentale différente de gestion des activités et des promesses faites aux autres. (Niveau supérieur)

4/ un problème lié à vos attitudes et dispositions mentales, vos stratégies et vos mécanismes face à la situation. Exemple : on vous fait remarquer que systématiquement, dans vos remarques, vos analyses, vos jugements, vous mettez toujours l’accent sur ce qui ne va pas, ce qui pourrait clocher, ce qui manque. Ce mécanisme de défiance, de critique, de repérage des dangers et risques potentiels peut trouver une piste de solution lorsque vous accédez aux croyances qui lui ont donné naissance et le maintienne en place (Niveau immédiatement supérieur).

5/ un problème lié à vos valeurs, ce que vous vous jugez essentiel dans la vie, et aussi ce que vous croyez, pensez, considérez comme important, sur vous-même, les autres, la vie en générale…
Exemple : vous pensez qu’il est important de s’affirmer, de faire valoir son point de vue, et qu’il faut se battre pour exister, que seul le pouvoir permet de s’en sortir… Si une telle croyance vous vaut d’avoir des attitudes et des comportements insupportables pour les autres, il vous faut faire un effort pour vous libérer. La solution réside au niveau de l’identité.

6/ Un problème lié à votre identité, ce que vous vous sentez être, à ce moment-là, le rôle que vous jouez, la personnalité que vous exprimez, la conscience que vous avez de vous –même, maître et responsable de vos actes.
Exemple : il peut vous arriver de vous demander si vous êtes bien dans votre peau, dans votre rôle (sur le plan personnel, le plan professionnel…) vous ressentez une profonde frustration, une sorte de d’impression de ne pas faire de votre vie ce que vous voudriez qu’elle soit. Cette interrogation sur votre « raison d’être » peut trouver sa solution au niveau de ce que vous voulez apporter aux autres (niveau immédiatement supérieur)

7/ un problème lié à la mission  que vous avez le sentiment de remplir, à ce moment-là, en relation avec d’autres groupes, auxquelles vous vous sentez appartenir
Exemple : vous pouvez avoir l’impression de ne plus vous reconnaître dans certaines de vos relations  (personnes, entreprises, associations, groupe…) vis-à-vis desquelles vous vous étiez auparavant engagé ou lié. La solution consiste alors à trouver de nouveaux groupes d’appartenance, de nouvelles vocations à partager avec elles.

Les 7 marches du positionnement d’un manager (Partie 2)

Les 7 marches du positionnement d’un manager (Partie 2)

Quatrième marche :

Développer la coopération en équipe « Ils ne savent pas travailler en équipe. Aucune entraide. Chacun pour soi. C’est désolant. » Une équipe, un esprit d’équipe se créent. Ils n’existent pas a priori. C’est le rôle du manager de mettre en place les conditions qui feront que cet esprit émergera progressivement. Quel intérêt ont-ils actuellement à s’entraider ? Est-ce vraiment indispensable à l’exercice de leur fonction ? En ont-ils les moyens ? Est-ce valorisé ? Êtes-vous vous-même exemplaire en ce domaine avec vos propres collègues ? J’ai déjà entendu des affirmations telles que « Le tout est plus que la somme des parties », « Rien de tel qu’un élément extérieur pour percevoir ce que nous n’avons pas su voir parce qu’immergés dans le problème ».

Nous en sommes tous convaincus théoriquement mais qu’en est-il dans les actes ? Dans un univers complexe, cette coopération est essentielle. Seul, nous n’y arrivons plus. L’intelligence collective devient primordiale. Elle s’organise en termes de processus avec le temps. Dans un premier temps, le manager encouragera les échanges informels au travers de moments de convivialité (petit déjeuners, pause-café, déjeuners pris en commun, journées de réflexion), pour favoriser les sentiments d’appartenance à l’équipe.

Ensuite, il constituera peu à peu des binômes de réflexion sur un thème, une action ponctuelle, un couplage senior – junior. Puis il organisera véritablement le partage des connaissances et des savoir-faire dans le cadre de fonctions bien définies avec complémentarités des compétences pour, petit pas à petit pas, formaliser des objectifs en s’appuyant sur la coopération et en la mettant en valeur. Enfin, il enverra chacun à tour de rôle se former à l’extérieur pour que chaque membre de l’équipe puisse ensuite faire monter en compétences ses collègues en interne sur le domaine exploré. Cela peut prendre plusieurs années dans certaines cultures d’entreprise reposant sur l’individualisme, du cloisonnement des compétences et une reconnaissance très individualisée.

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Développer la coopération en équipe « Ils ne savent pas travailler en équipe. Aucune entraide. Chacun pour soi. C’est désolant. » Une équipe, un esprit d’équipe se créent. Ils n’existent pas a priori. C’est le rôle du manager de mettre en place les conditions qui feront que cet esprit émergera progressivement. Quel intérêt ont-ils actuellement à s’entraider ? Est-ce vraiment indispensable à l’exercice de leur fonction ? En ont-ils les moyens ? Est-ce valorisé ? Êtes-vous vous-même exemplaire en ce domaine avec vos propres collègues ? J’ai déjà entendu des affirmations telles que « Le tout est plus que la somme des parties », « Rien de tel qu’un élément extérieur pour percevoir ce que nous n’avons pas su voir parce qu’immergés dans le problème ».

Nous en sommes tous convaincus théoriquement mais qu’en est-il dans les actes ? Dans un univers complexe, cette coopération est essentielle. Seul, nous n’y arrivons plus. L’intelligence collective devient primordiale. Elle s’organise en termes de processus avec le temps. Dans un premier temps, le manager encouragera les échanges informels au travers de moments de convivialité (petit déjeuners, pause-café, déjeuners pris en commun, journées de réflexion), pour favoriser les sentiments d’appartenance à l’équipe.

Ensuite, il constituera peu à peu des binômes de réflexion sur un thème, une action ponctuelle, un couplage senior – junior. Puis il organisera véritablement le partage des connaissances et des savoir-faire dans le cadre de fonctions bien définies avec complémentarités des compétences pour, petit pas à petit pas, formaliser des objectifs en s’appuyant sur la coopération et en la mettant en valeur. Enfin, il enverra chacun à tour de rôle se former à l’extérieur pour que chaque membre de l’équipe puisse ensuite faire monter en compétences ses collègues en interne sur le domaine exploré. Cela peut prendre plusieurs années dans certaines cultures d’entreprise reposant sur l’individualisme, du cloisonnement des compétences et une reconnaissance très individualisée.

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Cinquième marche : Encourager l’initiative et la confrontation des idées  

« Ils ne prennent aucune initiative ; il faut tout leur dire. » Nous avons, nous, entreprise et managers, les collaborateurs que nous méritons. Qui dit initiative dit risque d’erreur. Comment réagissons-nous face à l’erreur ? Quelle est la culture de l’entreprise face à l’erreur ? Est-elle reconnue comme source de progrès ou au contraire sévèrement sanctionnée ? Une erreur est un révélateur, soit de quelque chose d’appris mais de mal compris, soit d’une transposition qui n’a pas été faite. Le collaborateur agit sans analyser toutes les composantes en jeu dans la nouvelle situation : mauvaises appréhension du système dans lequel il doit agir. C’est du pain béni pour le manager.

Dans le premier cas, ce sera l’occasion de mieux comprendre la manière d’apprendre du collaborateur et de l’encourager à prendre des initiatives dans des domaines qu’il maîtrise. Dans le second cas, ce sera un moment privilégié pour lui procurer des informations et des éléments d’analyse qui lui permettront de mieux appréhender le système.

Le suivi est essentiel à la prise d’initiative. C’est permettre d’avancer en milieu sécurisé. Rien de pire que de se sentir livré à soi-même par un manager indisponible qui vous lâche, seul, sans moyen d’évaluer le risque et qui vous en blâmera peut-être si le résultat n’est pas à la hauteur de ses attentes. Même les plus téméraires peuvent ainsi devenir frileux.

L’initiative, bonne ou mauvaise, se reconnaît. Je n’en voudrais jamais à un collaborateur d’avoir pris une initiative. Je peux en revanche lui reprocher de ne pas m’en avoir averti ou de ne pas l’avoir fait valider avant d’agir.

Enfin, il est important de reconnaître chez soi un désir de tout maîtriser pour de « bonnes » raisons. Le désir de tout contrôler, tout maîtriser est un frein à l’initiative. En effet, elle ne va pas sans une certaine marge de liberté. Il nous faut donc choisir entre toute-puissance et développement du potentiel de nos collaborateurs.

De la confrontation des idées surgissent de nouvelles idées toujours plus originales. Il existe différentes techniques de créativité inspirée du raisonnement pour aiguiller la pensée vers de nouveaux champs et résoudre des problèmes complexes. Mais, au-delà des techniques, tout comme pour l’initiative, c’est un état d’esprit à favoriser dans l’équipe.

Est-ce que j’accorde suffisamment de temps à échanger, partager avec mon équipe sur des sujets d’actualité, des articles lus dans des revues spécialisées ? Comment est-ce que je réagis lorsque deux membres de l’équipe ne sont pas d’accord ? Est-ce que je les encourage à aller plus loin dans le débat en leur permettant  de développer leurs arguments ? Est-ce que j’adopte une posture d’écoute qui mette en évidence que les contradictions sont peut-être de pure forme ais que les intentions sont identiques ou le contraire ? Est-ce que les débats sont repris ultérieurement pour approfondissement ?

Comment est-ce que je réagis lorsqu’un des membres de mon équipe n’est pas d’accord avec moi ? Curiosité ou repli derrière mon statut ?

FOCUS : Créer un climat de confiance

Des interventions collectives avec un de nos consultants sur des thématiques telles que la négociation, l’écoute, la créativité ou l’innovation peuvent constituer collectivement un bon début pour apprendre ensemble à s’écouter, se parler et élaborer des nouvelles idées dans un climat positif et bienveillant.

Septième marche : Capitaliser sur l’expérience acquise

Que de temps, d’énergie et d’argent perdus dans les entreprises à réinventer «  le fil à couper le beurre ». Le projet à peine achevé, nous sommes emportés par le tourbillon de nouvelles actions. Une réunion d’une heure avec formalisation permettait souvent de préserver des trésors de créativité et d’innovation en matière de traitement des erreurs, de résolution de difficultés d’équipe ou d’implication d’acteurs périphériques ou centraux.

Que de fois avons-nous entendu dans la même entreprise : « Nous avions oublié d’impliquer dès le début les principaux clients du projet, la production. Nous nous sommes fourvoyés. Nous avons ensuite ramé et perdu un temps colossal pour rendre compatible le logiciel avec leurs besoins des utilisateurs. »

Le manager peut faire prendre l’habitude à ses collaborateurs la participation à des réunions de capitalisation ou d’échanges d’expérience. Sur un projet spécifique et nouveau, les points suivants peuvent être abordés par chacun, manager et membres de l’équipe, afin de capitaliser :

  • Quels étaient nos objectifs ? quelles étaient les méthodes que nous avions envisagées ?
  • Quels résultats avons-nous réellement atteints ? Quelles ont été les méthodes qui se sont révélées les plus efficaces ?
  • Qu’ai-je retenu pour moi-même de cette expérience ? En quoi ai-je l’impression que mes compétences se sont accrues ? Quelles sont celles que je pense pouvoir réutiliser dans mon activité (projet ou mission) actuelle ?
  • Quelles sont les difficultés rencontrées qui m’ont marqué en positif ou en négatif ? Si c’était à refaire, qu’est-ce que je changerais ou préconiserais comme action différente ?

Et pourquoi ne pas tenir un journal de bord comme les capitaines de bateau qui partaient pour de longues traversées semées d’embûches, il est toujours passionnant et stimulant pour l’équipe de revivre des épisodes négligés ou oubliés sou la pression de l’action nouvelle.

Le partage d’expériences est une autre forme de capitalisation avec un bénéfice secondaire : faire monter en compétence l’ensemble de l’équipe tout en valorisant à tour de rôle un ou plusieurs membres. Tout comme la capitalisation d’expérience, il peut s’organiser sous forme de réunion à un rythme régulier. Chacun à tour de rôle est invité seul ou avec une ou deux autres personnes de l’équipe ou d’une autre équipe (encouragez la transversalité !) à présenter une démarche ou une méthode particulières, une problématique client, une recherche sur internet par rapport à un sujet innovant. Les thèmes ne manquent pas.

Bien cadrées, ces réunions créeront une alternative intéressante aux réunions classiques où le manager est bien souvent le seul impliqué. Elles vous permettent de découvrir des talents cachés en matière de communication, de pédagogie ou d’expertise. Elles suscitent de l’intérêt pour l’activité de l’autre.

En conclusion

Vous assumez maintenant votre identité professionnelle de manager et vous avez gravi les 6 marches qui vous positionnent pleinement dans vos fonctions de manager. Il est temps pour vous d’assumer pleinement votre rôle, en particulier en accompagnant vos collaborateurs sur le chemin de l’autonomie.

Les 7 marches du positionnement d’un manager (Partie 1)

Les 7 marches du positionnement d’un manager (Partie 1)

Pour vous aider à vous positionner dans votre rôle de manager, nous vous proposons de gravir un escalier de six marches. Chacune d’elles est une nécessité pour tout manager qui désire développer son équipe et accroître la performance de l’entreprise. En sauter une revient  prendre le risque d’échouer dans ces deux domaines.

Première marche : Faire clarifier son rôle de manager

Les pyramides hiérarchiques se sont aplaties, les réorganisations, les restructurations sont d’actualités, donnant aux projets et aux réseaux une dimension nouvelle. Dans ce contexte, les dirigeants ont de moins en moins de proximité avec l’encadrement et doivent, en contrepartie, davantage faire confiance au niveau local et déléguer. C’est le grand « plus » de ces nouvelles organisations : les managers ont de l’espace à investir.

Cette délégation est efficace si elle s’accompagne d’une clarification des rattachements et des objectifs : « Sur quels résultats concrets et par qui serons-nous, moi et mon équipe, évalués et reconnus ? » Ceci est d’autant plus important que, comme nous l’avons décrit précédemment le manager peut être conduit à manager ou à piloter plusieurs équipes en parallèle, hiérarchique et fonctionnelle : chef de projets(s), animateur de groupe(s) de travail, coordinateur, interface…Il nous arrive d’entendre des managers dire « On ne me l’avait pas dit ; j’ignore ce que l’on attend de moi » ou bien « je ne sais plus ce que sont mes priorités ; elles sont constamment remises en cause par des missions de dernières minutes »

Face à ces différentes situations, voici mes trois recommandations :

Exigez un contrat clair avant de vous engager dans l’action. Ce contrat spécifie votre rattachement, la finalité et a durée de la mission, ses objectifs concrets et les moyens qui vous sont alloués. Il explicite les points suivants : qui est le client de la mission, comment se feront les arbitrages s’il y a incompatibilité opérationnelle entre plusieurs missions, qui sont vos interlocuteurs privilégiés, qui vous évalue en fin de mission et comment vos performances et celles de vos collaborateurs sont transmises à votre hiérarchie directe et prises en compte de votre évolution ;

Donnez-vous toujours un délai de réflexion avant d’accepter. Ce sont souvent dans les heures qui suivent que «  nos tripes parlent ». un malaise s’empare de nous a posteriori. Surgit alors à notre esprit la question que nous avons omis de poser sous le coup de la surprise ou de l’enthousiasme, ou une partie de l’information reçue suscite soudain trouble et confusion ;

Mesurez ce qu’est votre valeur ajoutée dans ce qui vous est proposé, ce que vous avez à perdre, à faire clarifier, à poser comme conditions, à prendre ou à refuser. Vous serez beaucoup plus fort et pertinent pour vous faire reconnaître dans l’altérité, et plus impliqué, quelle que soit la décision finale.

Deuxième marche :

Donner du sens. Plus notre monde est complexe, plus il nécessite de communiquer avec clarté. Le manager est leader. Il ouvre la route, route dessinée par d’autres, il est vrai, mais il rend concrète, à notre portée. Il contribue à décliner la vision et la stratégie de l’organisation en une représentation logique pour les acteurs et contribue ainsi à la cohérence de l’action.

Il explique que c’est la vision de l’organisation, « ce à quoi nous croyons, nos valeurs, nos enjeux ». Il éclaire la nécessité d’y aller, le « pourquoi » et le « pour quoi » : « Voilà ce à quoi l’entreprise croit pour demain. Si nous n’y allions pas, quelles en seraient les compétences par rapport à la concurrence ? » En s’appuyant sur des exemples du passé et du présent, il pourra expliquer cette nécessité : «  Qu’espérons-nous atteindre en prenant cette voie ? Quelles sont les grandes orientations que nous allons prendre ? » Opérationnellement, il explique les impacts concrets sur l’organisation et le management, les projets et les grands objectifs qui en découlent. Il met en perspective ce que vont être les objectifs de l’équipe, les moyens qui sont à disposition pour y parvenir, « le comment ».

Les managers tout au long de la ligne hiérarchique sont ainsi les garants d’une cohérence de l’action et chaque collaborateur doit être à même de pouvoir répondre à la question suivante : « Lorsque je fais ceci, à quoi cela sert-il dans l’entreprise ? » Par ailleurs, donner du sens à l’action, au changement, implique que le manger renonce à certaines croyances bien établies dans les entreprises.

Troisième marche : S’organiser pour se rendre disponible au management. 

Nombreuses sont encore les entreprises qui accordent une plus grande valeur à l’expertise qu’au management. Pour s’en convaincre, il suffit de lire les critères d’évaluation pris en compte dans les entretiens annuels et leur ordre d’apparition dans les grilles, malgré les discours ambiants sur « le manager développeur des compétences de l’entreprise » ou «  notre meilleure ressource, c’est l’humain ».

    Les raisons de privilégier l’expertise au management sont nombreuses. Mieux et plus rapidement reconnu dans son rôle d’expert, avec une valeur ajoutée plus facile à mettre en évidence, le manager peut être tenté de consacrer la plupart de son temps et de son énergie à ce qui rapporte immédiatement plus. Ces raisons pourraient suffirent mais s’y ajoutent des motivations plus personnelles : la satisfaction non négligeable d’être sur le terrain, «  de mettre les mains dans le cambouis », en particulier dans des activités plaisantes. D’autre invoquent des motifs commerciaux (« ce client ne veut entendre parler que de moi »), de compétences (« je suis le seul à avoir cette compétence ») ou de crédibilité (« un manager ne peut être crédible que s’il est capable de faire la même chose que ses collaborateurs »).

    La démarche proposée ci-dessous a pour objectif de vous donner les moyens opérationnels pour concilier expertise et management.

    • Clarifier sa valeur ajoutée dans ses deux rôles et faire hiérarchiser ses rôles

    La deuxième marche « faire clarifier » que nous avons évoquée précédemment en formation concerne non seulement le rôle de manager mais également les autres rôles professionnels. Ici également, il conviendra d’obtenir un contrat clair sur les attendus de chaque rôle.

    Par ailleurs, « si tous les rôles sont prioritaires, plus aucun ne l’est ». Aussi, confronté à plusieurs rôles professionnels à assumer simultanément, le manager cherchera à obtenir une hiérarchisation des rôles prioritaires. Hiérarchiser ses priorités quand on occupe une fonction unique n’est pas nécessairement simple mais quand on assume deux, trois voire quatre rôles… cela est obligatoire.

    • Se fixer des objectifs pour chacun de ses rôles

    Le risque, à cette étape de la démarche, est d’en rester au stade des intentions, des bonnes résolutions que l’on prend et reprend régulièrement. Aussi est-il essentiel de se fixer, pour chaque rôle, des objectifs répondant aux critères suivants :

    • Un résultat précis ;
    • Échéancier ;
    • Réaliste ;
    • Assorti de moyens ;
    • Assorti de points de suivi.
    • Traduire les objectifs en actions

     

     

    Croyance 1: Penser : « En deçà d’un certain niveau, ils (les collaborateurs) ne peuvent comprendre les enjeux économiques des orientations ou des actions envisagées », c’est méconnaître les capacités des hommes et des femmes qui nous entourent. Ainsi le comptable Monsieur Ramboutan, est également adjoint au maire de sa commune et est amené à prendre des décisions rudes de conséquence pour la communauté.

    Madame Goyave, l’assistance de direction, souhaite mettre en place dans son quartier un projet de microéconomie pour aider des femmes à créer leur activité. Monsieur Créole, chargé du courrier, achète des appartements qu’il retape et vend avec une plus-value importante. Madame Sandra, la standardiste, préside une association de parents d’enfants handicapés. Quid de tout ce potentiel ? Et pour les autres, ne pouvons-nous envisager une MasterFormation à l’organisation et leur donner ainsi des clés de compréhension ?

    Croyance 2 « Ils font de la résistance au changement ; ils n’aiment pas changer leur habitudes ». Les   collaborateurs ont souvent mieux intégré que leurs managers la nécessité du changement et ses conséquences, y compris en termes de suppression de poste ou de plans sociaux. Mais ils veulent pouvoir être entendus sur les aspects concrets du changement. Considérés comme tels et proposeront des améliorations intéressantes pour le quotidien et le travail en équipe.

    Fédérer son équipe

    Un manager est en train de constituer son équipe et il s’est fixé comme objectif de la fédérer. Il aura eu soin de préciser les délais, ses critères de réussite (à quoi verrai-je que j’ai atteint mon objectif ?… et d’identifier ses activités à haut rendement : réunir régulièrement l’équipe, créer des moments de convivialité, mettre en place un système de partage des connaissances…

    Combien de managers évoquent leur intention de réunir leur équipe et l’importance qu’ils y accordent pour déplorer régulièrement le manque de temps à accorder à cette activité, jugée pourtant prioritaire ?

    • S’organiser en fonction de vos différents rôles

    La liste de vos objectifs par rôles devra être facilement accessible. Par ailleurs, je  vous encourage à organiser vos différents supports en fonction de vos différents rôles .

    • Le bureau et les dossiers de votre ordinateur : les icônes des dossiers par rôles constitueront le premier niveau de l’arborescence de vos dossiers ;
    • Votre messagerie électronique : utilisez les possibilités offertes par les outils actuels ;
    • Dans l’agenda : choisissez un code couleur pour chacun de vos rôles. Ce système visuel permet de repérer les rôles surinvestis ou délaissés et d’apporter des actions correctives ;
    • Dans la boîte de réception : créez un premier niveau de l’arborescence par rôle ;
    • Dans les « Tâches » : créez des catégories correspondant à vos différents rôles et affectez une catégorie à chacune des tâches. Vous pourrez  noter l’action prioritaire à effectuer dans vos différents rôles pendant la semaine ;
    • Dans votre portable intelligent ou votre agenda papier : dans le premier, reprenez les conseils évoqués au sujet de l’ordinateur et de la messagerie. En ce qui concerne l’agenda papier, utilisez les possibilités offertes par les organisers : les onglets du classeur seront également organisés par rôle.

    Sans oublier le classement de vos dossiers papier dont le premier niveau d’arborescence pourra également correspondre à vos différents rôles professionnels.

    En vertu de la loi de Pareto qui suggère que 20 % de nos activités produisent 80% de nos résultats, nous pouvons considérer qu’un nombre limité d’activités nous permettent d’obtenir les résultats voulus. Ce sont les activités à haut rendement, c’est-à-dire les plus contributives pour atteindre les objectifs qu’il convient de planifier en priorité.

    Pourquoi Manager ?

    Pourquoi Manager ?

    Pourquoi manager ?

    À cette question, une seule et unique réponse : pour développer la performance de l’entreprise, notamment en augmentant la productivité (« Quantitative » mais aussi « qualitative ») de chacun des collaborateurs et de l’organisation dans son ensemble. Autour du « comment faire ? », s’étire toute l’histoire du management.

    Taylor, d’abord et son organisation scientifique du travail, qui a initié un immense effort de rationalisation efficace des méthodes de travail, mais en éludant l’élément humain. Puis, avec Elton Mayo, l’école des relations humaines a réintroduit cet élément en cherchant à connaître l’individu et le groupe au travail afin de rationaliser leurs conduites. Aujourd’hui encore, ces écoles de pensée sous-tendent beaucoup des pratiques et des formations managériales.

    Et pourtant… ces théories ont toutes pour origine un postulat erroné. Elles raisonnent en effet comme si le problème principal était la bonne adaptation des individus aux exigences de l’organisation, et que le groupe de travail se construisait naturellement autour de cette exigence ! Ce n’est pas vrai, cela a été démontré très clairement il y a plus de trente ans, notamment par Crozier et Friedberg (et les certitudes démontrées ne sont pas légion en management). Quelle que soit la culture interne existant dans l’entreprise, l’homme y reste toujours un acteur, avec ses objectifs propres. Il n’accepte jamais d’être traité comme un moyen au service d’objectifs que les dirigeants et les managers fixent à l’entreprise. Ainsi, les collaborateurs ont des buts qui peuvent ne pas être en accord avec ceux de l’entreprise. C’est un fait, non une opinion.

    Or, il est fréquent que nous rencontrions dans nos formations des managers qui adoptent un raisonnement très différent… et erroné : « L’entreprise élabore des objectifs et une stratégie que je suis chargé de traduire auprès de mes collaborateurs. Je motive donc mes collaborateurs en leur faisant sentir toute l’importance de la réalisation de ces objectifs pour l’entreprise. »

    Ce schéma « idéaliste » – pour l’entreprise – de la relation de travail est source de nombreuses déceptions, facteurs de démotivation… des managers ! Concrètement, cela ne marche pas, ce qu’avouent d’ailleurs bien volontiers ces mêmes managers.

    Non, les collaborateurs ne peuvent pas être directement motivés par les objectifs de l’entreprise. Pour la simple et bonne raison que ces collaborateurs ne viennent pas essentiellement travailler dans l’entreprise pour ses objectifs, mais pour les leurs ! Si l’on veut développer la motivation des collaborateurs, il s’agit donc de prendre en compte leurs objectifs propres sans pour autant changer en quoi que ce soit les objectifs de l’entreprise.

    « Point de rencontre » Voilà qui enrichit singulièrement le rôle du Manager.

    Il n’est plus uniquement une « courroie de transmission », chargé de traduire auprès de ses collaborateurs les volontés de l’entreprise. Il est un point de rencontre entre les objectifs des uns et des autres. Charge à lui de veiller à ce que cette rencontre soit fructueuse en terme de mobilisation des salariés et donc, plus généralement, en terme de productivité.

    Pour cela, il doit, bien entendu, disposer des outils lui permettant de pratiquer un management personnalisé à chacun des membres de son équipe (et nous sommes là bien loin des recettes toutes faites, prétendument créatrices de motivation !). Mais il doit aussi développer une qualité fondamentale : savoir considérer ses collaborateurs comme des partenaires, qu’il faut respecter, avec lesquels il est parfois nécessaire de négocier.

    Conception singulièrement moderne du management… qui repose sur des certitudes démontrées il y a plus de trente ans.

    Facture électronique : êtes-vous prêt pour le 1er janvier 2020 ?

    Facture électronique : êtes-vous prêt pour le 1er janvier 2020 ?

    La transition numérique est en marche et le gouvernement mène la danse des réformes. D’ici 2020, 100% des factures à destination des acteurs du secteur public devront être numériques.

    Démarré en 2017, ce grand changement s’effectue par vague. Depuis le 1er janvier 2019, les petites et moyennes entreprises se sont jetées à l’eau. À quoi doivent-elles s’attendre ? On vous éclaire sur la facturation électronique.

    Facture électronique : de quoi s’agit-il ?

    Concrètement, c’est une facture créée, envoyée et reçue sous forme numérique. Jusque-là, c’est évident et logique. Pour être légalement valide, elle doit respecter 4 règles d’or :

    • Garantir l’identité de l’émetteur,
    • Garantir l’intégrité de la facture (impossible de la modifier),
    • Garantir la lisibilité du document par son destinataire,
    • Contenir les mêmes mentions légales qu’une version papier (date d’émission, numéro, identité des 2 parties…).

     

    Pour être sûr que votre facture électronique réponde à ces critères, plusieurs options s’offrent à vous :

    • L’utilisation d’une signature électronique via un certificat qualifié,
    • La mise en place de contrôles établissant un lien entre la facture et la transaction concernée (Piste d’Audit Fiable),
    • La mise en place d’une norme acceptée par les deux parties pour l’automatisation du traitement de la facture. En un mot, s’accorder en amont sur l’outil utilisé : par exemple un logiciel de gestion intégrée ou un fichier PDF.

    Ces quelques points à respecter sont simples et rapides à mettre en place en s’équipant correctement.

     

    La facture électronique et moi, ça donne quoi ?

    L’ordonnance du 26 juin 2014 prévoit la mise en place progressive de la facture électronique. Elle est obligatoire selon un calendrier défini qui concerne les entreprises en fonction de leurs tailles.

    Par exemple, vous êtes une entreprise de 15 salariés dans le secteur du BTP. Vous avez réalisé la rénovation d’un bâtiment public de la ville de Rambouillet.

     

    Depuis le 1er janvier 2019, vous êtes dans l’obligation d’émettre votre facture au format électronique et de la transmettre sur le portail Chorus Pro. Développé par l’AIFE (Agence pour l’informatique financière de l’État), il permet le dépôt, la transmission et le suivi de vos factures électroniques auprès des établissements publics. Et en prime, il est mis gratuitement à disposition des fournisseurs et accepte un grand nombre de formats de factures (PDF signé ou non, XML structuré ou mixte,…).

     

    Sans le respect de cette réglementation, vous ne serez pas réglé pour votre prestation.

     

    Alors, comment faire ?

    1. Créez votre compte sur le portail Chorus Pro.
    2. Déposez votre facture sur le portail en respectant les formats acceptés
    3. Suivez le traitement de votre facture et son paiement

    Le + : pensez à vous équiper d’un logiciel de gestion, vous gagnerez du temps et ces trois étapes seront simplifiées, automatisées.

    L’ensemble des entreprises et secteurs d’activités sont concernés ! En voici quelques exemples :

    • La réfection des peintures d’un hôtel de ville
    • L’entretien des espaces verts d’une commune
    • Une intervention de dépannage électrique dans une école
    • L’approvisionnement de tous les ordinateurs d’un centre hospitalier
    • L’édition de documents en vue d’une élection (flyer, bulletins de votes, etc.)

    Et les avantages, pour moi PME, on en parle ?

    La facture électronique devenant obligatoire, autant profiter des avantages qu’elle vous offre. Et oui, obligation légale ne veut pas forcément dire contraintes !

    • Réduisez vos coûts administratifs de 50% à 70% par rapport au traitement papier :

    -Suppression des manipulations de documents papier,

    -Diminution du temps de traitement,

    -Suppression des coûts d’impression, d’envoi postal, de stockage.

    • Diminuez votre empreinte carbone
    • Optimisez le suivi et l’accès à l’information : traçabilité, sécurisation
    • Automatisez et rationalisez vos processus : meilleure fluidité dans les échanges

    Précisons également que l’utilisation d’un logiciel de gestion renforce ces avantages dans votre quotidien.

    Les gains sont multiples : coûts, productivité, environnement, temps, sécurité, etc. Désormais, vous n’avez plus aucune excuse. Passez à la facture électronique, votre entreprise vous remerciera !

     

    Le non-respect : pas de sanctions, mais …

    Bonne nouvelle : pour vos clients du service public, vous ne risquerez pas de grosse amende si vous n’utilisez pas de facture électronique. En revanche, il sera plus compliqué de vous faire payer par ces derniers, ce qui peut vite mettre en péril la pérennité de votre entreprise.

    D’ailleurs, saviez-vous que le montant de trésorerie lié aux retards de paiement représente près de 12 milliards d’euros ? C’est colossal ! Donc, ne vous tirez pas une balle dans le pied.

    Vous savez tout maintenant. Et vous l’aurez bien compris : passer à la facture électronique facilitera et sécurisera le paiement de vos factures ainsi que la gestion de votre trésorerie !

    Excel – Mode opératoire – Partie 7

    Excel – Mode opératoire – Partie 7

    Application d’une validation des données aux cellules

     

    1. Sélectionnez les cellules pour lesquelles vous voulez créer une règle.
    2. Sélectionner des données >validation des données.

     

    Validation des données

     

    Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :

    • Nombre entier : pour que la cellule accepte uniquement des nombres entiers.
    • Décimal : pour que la cellule accepte uniquement des nombres décimaux.
    • Liste : pour choisir des données dans la liste déroulante.
    • Date : pour que la cellule accepte uniquement des dates.
    • Durée : pour que la cellule accepte uniquement des heures.
    • Longueur du texte : pour limiter la longueur du texte.
    • Personnalisé : pour une formule personnalisée.

     

    Sous Données, sélectionnez une condition :

    • entre
    • non comprise entre
    • égal à
    • différent de
    • supérieur à
    • inférieur à
    • supérieur ou égal à
    • inférieur ou égal à

     

    1. Sous l’onglet Paramètres, sous Autoriser, sélectionnez une option :
    2. Définissez les autres valeurs requises, en fonction de ce que vous avez choisi pour Autoriser et Données. Par exemple, si vous sélectionnez entre, sélectionnez les valeurs minimum: et maximum: pour la ou les cellules.
    3. Si vous voulez ignorer les espaces vides, activez la case à cocher Ignorer si vide.
    4. Si vous voulez ajouter un titre et un message à votre règle, sélectionnez l’onglet message de saisie , puis tapez un titre et un message.
    5. Activez la case à cocher Quand la cellule est sélectionnée pour que le message s’affiche lorsque l’utilisateur sélectionne les cellules sélectionnées ou pointe sur celles-ci.
    6. Sélectionnez OK.

      À présent, si l’utilisateur essaie d’entrer une valeur qui n’est pas valide, une fenêtre contextuelle affiche un message similaire à « Cette valeur ne respecte pas les restrictions de validation des données de cette cellule ».

    Créer une liste déroulante

    1. Dans une feuille de calcul, tapez les entrées que doivent figurer dans votre liste déroulante. Idéalement, vos éléments de liste doivent figurer dans un tableau Excel. Si vous n’avez pas, vous pouvez convertir rapidement votre
    2. liste en tableau en sélectionnant une cellule dans la plage, puis en appuyant sur Ctrl+T

    1. Sélectionnez la cellule de la feuille de calcul dans laquelle vous voulez créer la liste déroulante.
    2. Dans le ruban, accédez à la l’onglet Données, puis à Validation des données.
    1. Sous l’onglet Options, dans la zone Autoriser, cliquez sur Liste.
    2. Cliquez dans la Source, puis sélectionnez votre plage de liste. Nous avons placé la nôtre sur une feuille nommée Villes, dans la plage A2:A9. Notez que nous avons exclu la ligne d’en-tête, car nous ne voulons pas qu’elle puisse être une option de sélection :

     

    1. Si les utilisateurs auront la possibilité de laisser la cellule vide, activez la case Ignorer si vide.
    2. Activez la case Liste déroulante dans la cellule.
    3. Cliquez sur l’onglet Message de saisie.
      • Si vous voulez qu’un message s’affiche lorsque l’utilisateur clique sur la cellule, cochez la case Quand la cellule est sélectionnée et tapez un titre et un message dans les zones (225 caractères maximum).
      • Si vous ne voulez pas qu’un message s’affiche, décochez la case.

        Cliquez sur l’onglet Alerte d’erreur.

        • Si vous souhaitez qu’un message contextuel s’affiche quand l’utilisateur entre un élément ne figurant pas dans votre liste, cochez la case Quand des données non valides sont tapées, choisissez une option dans la zone Style, puis tapez un titre et un message. Si vous ne souhaitez pas un message s’affiche,

    .Options de Message d’erreur de liste déroulante Validation des données

     

    • désactivez la case à cocher
    • Vous hésitez sur le choix de l’option dans la zone Style ?
      • Pour afficher un message qui n’empêche pas les utilisateurs d’entrer des données ne figurant pas dans la liste déroulante, cliquez sur Informations ou Avertissement. L’option Informations a pour effet d’afficher un message avec l’icône Le message présente une icône d’informations mais n’empêche pas l’utilisateur d’effectuer une sélection dans la liste déroulante. , et l’option Avertissement d’afficher un message avec l’icône Le message présente une icône d’avertissement mais n’empêche pas l’utilisateur d’effectuer une sélection dans la liste déroulante. .

    Pour empêcher les utilisateurs d’entrer des données ne figurant pas dans la liste déroulante, cliquez sur Arrêter.

    Remarque : Si vous n’ajoutez pas de titre ou de texte, par défaut, le titre est « Microsoft Excel » et le message est « La valeur que vous avez tapée n’est pas valide. Un utilisateur a restreint les valeurs que peut prendre cette cellule ».

     

    Excel – Mode opératoire – Partie 7

    Excel – Mode opératoire – Partie 6

    Options de courbe de tendance dans Office

    Courbe de tendance linéaire

    Utilisez ce type de courbe de tendance pour créer est une ligne droite optimale pour des ensembles de données linéaires simples. Vos données sont linéaires si le motif des points de données ressemble à une ligne. Une courbe de tendance linéaire représente généralement une augmentation ou une diminution régulière.

    Une courbe de tendance linéaire utilise l’équation suivante pour calculer les moindres carrés pour une ligne :

    équation m étant la pente et b l’ordonnée à l’origine.

    La courbe de tendance suivante indique que les ventes de réfrigérateurs ont régulièrement augmenté sur une période de huit ans. Notez que le coefficient de détermination (un nombre compris en 0 et 1 qui indique à quel point les valeurs estimées pour la courbe de tendance correspondent à vos données réelles) est de 0,9792, ce qui indique une bonne correspondance entre la courbe et les données.

    Nuage de points avec une courbe de tendance linéaire

    Courbe de tendance logarithmique

    Affichant un trait courbe le plus exact possible, cette courbe de tendance logarithmique est utile lorsque la fréquence de modification des données augmente ou diminue rapidement, puis se stabilise. Une courbe de tendance logarithmique peut utiliser des valeurs négatives et positives.

    Une courbe de tendance logarithmique utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

    équation c et b étant des constantes et In la fonction du logarithme népérien.

    La courbe de tendance logarithmique suivante illustre l’évolution estimée du nombre d’animaux dans une zone donnée, avec une stabilisation de cette évolution lorsque l’espace qui leur est attribué diminue. Le coefficient de détermination est de 0,933, ce qui indique une assez bonne correspondance entre la courbe et les données.

    Nuage de points avec une courbe de tendance logarithmique

    Courbe de tendance polynomiale

    Cette courbe de tendance est utile lorsque vos données fluctuent. Par exemple, lorsque vous analysez des pertes et des profits sur un vaste ensemble de données. L’ordre de la courbe polynomiale peut être déterminé par le nombre de fluctuations dans les données ou par le nombre de courbures (bosses et creux) figurant dans la courbe. Généralement, une courbe polynomiale d’ordre 2 ne possède généralement qu’une seule bosse ou un seul creux. Une courbe polynomiale d’ordre 3 possède 1 ou 2 bosses ou creux, et une courbe d’ordre 4, possède 3 bosses ou creux au maximum.

    Une courbe de tendance polynomiale ou linéaire courbe utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

    équation où b et Variable sont des constantes.

    La courbe de tendance polynomiale d’ordre 2 (une bosse) suivante illustre la relation entre la vitesse de conduite et la consommation d’essence. Notez que le coefficient de détermination est de 0,979, ce qui est proche de 1 et indique une bonne correspondance entre la courbe et les données.

    Nuage de points avec une courbe de tendance polynomiale

    Courbe de tendance de puissance

    Affichant un trait courbe, cette courbe de tendance est utile pour les ensembles de données qui comparent des mesures augmentant à une vitesse spécifique. Par exemple, l’accélération, toutes les secondes, d’une voiture de course. Vous ne pouvez pas créer une telle courbe si vos données contiennent des valeurs nulles ou négatives.

    Une courbe de tendance de puissance utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

    équationoù c et b sont des constantes.

    Remarque : Cette option n’est pas disponible lorsque vos données comportent des valeurs nulles ou négatives.

    Le graphique de mesure des distances suivant affiche la distance en mètres par seconde. La courbe de tendance de puissance montre clairement une accélération continue. Le coefficient de détermination est de 0,986, ce qui indique une correspondance presque parfaite entre la courbe et les données.

    Nuage de points avec une courbe de tendance de puissance

    Courbe de tendance polynomiale exponentielle

    Affichant un trait courbe, cette courbe de tendance est utile lorsque les valeurs de données augmentent ou diminuent de manière constante. Vous ne pouvez pas créer de courbe de tendance exponentielle pour des données contenant des valeurs nulles ou négatives.

    Une courbe de tendance exponentielle utilise cette équation pour calculer les moindres carrés qui conviennent aux points :

    équation c et b étant des constantes et e la base du logarithme népérien.

    La courbe de tendance exponentielle suivante illustre la quantité décroissante de carbone 14 dans un objet au fur et à mesure de son vieillissement. Notez que le coefficient de détermination est de 0,990, ce qui indique une correspondance presque parfaite entre la courbe et les données.

    Graphique avec courbe de tendance exponentielle

    Courbe de tendance de moyenne mobile

    Une courbe de tendance de moyenne mobile égalise les fluctuations des données afin de clarifier un motif ou une tendance. Une moyenne mobile utilise un nombre spécifique de points de données (définis par le biais de l’option Période), calcule une moyenne, puis utilise cette valeur comme un point de la courbe de tendance. Si la Période est égale à 2, par exemple, la moyenne des deux premiers points de données est utilisée en tant que premier point de la courbe de tendance de moyenne mobile. La moyenne du deuxième et du troisième point de données est utilisée comme le deuxième point de la courbe de tendance, etc.

    Une courbe de tendance de moyenne mobile utilise l’équation suivante :

    équation

    Le nombre de points d’une courbe de tendance de moyenne mobile est égal au nombre total de points de la série, moins le nombre que vous spécifiez pour la période.

    Dans un graphique en nuages de points, la courbe de tendance est basée sur l’ordre des valeurs X dans le graphique. Pour un résultat optimal, triez les valeurs X avant d’ajouter une moyenne mobile.

    La courbe de moyenne mobile suivante illustre l’évolution du nombre de maisons vendues sur une période de 26 semaines.

    Nuage de points avec courbe de tendance de moyenne mobile

    Excel – Mode opératoire – Partie 7

    Excel Mode opératoire – Partie 5

    Créer un tableau croisé dynamique pour analyser des données de feuille de calcul

    Un tableau croisé dynamique est un outil puissant capable de calculer, de synthétiser et d’analyser des données, qui vous permet de voir des comparaisons, des motifs et des tendances dans vos données.

    Créer un tableau croisé dynamique

    1. Sélectionnez les cellules à partir desquelles vous voulez créer un tableau croisé dynamique.

      Remarque :  Vos données ne peuvent pas comporter de lignes ou colonnes vides. Elles ne peuvent comporter qu’une seule ligne de titre.

    2. Sélectionnez Insertion > Tableau croisé dynamique.

      Tableau croisé dynamique

    3. Sous Choisissez les données à analyser, cliquez sur Sélectionner un tableau ou une plage

      Tableau croisé dynamique

    4. Dans Tableau/plage, vérifiez la plage de cellules.

    5. Sous Choisissez l’emplacement de votre rapport de tableau croisé dynamique, sélectionnez Nouvelle feuille de calcul pour placer le tableau croisé dynamique dans une nouvelle feuille de calcul Feuille de calcul existante, puis sélectionnez où le tableau croisé dynamique doit apparaître.

    6. Sélectionnez OK.

    Création de votre tableau croisé dynamique

    1. Pour ajouter un champ à votre tableau croisé dynamique, activez la case à cocher du nom de champ dans le volet Champs de tableau croisé dynamique.

      Remarque : Les champs sélectionnés sont ajoutés à leur zone par défaut : les champs non numériques sont ajoutés à Lignes, les hiérarchies de date et d’heure sont ajoutées à Colonnes, et les champs numériques sont ajoutés à Valeurs.

      Tableau croisé dynamique

      2. Pour déplacer un champ d’une zone à une autre, faites-le glisser vers la zone cible.

     

    Trier des données d’un tableau ou graphique croisé dynamique

    Le tri de données est utile lorsque vous disposez de grandes quantités de données dans un tableau croisé dynamique. Vous pouvez effectuer le tri par ordre alphabétique, de la valeur la plus élevée à la moins élevée ou de la valeur la moins élevée à la plus élevée. Le tri vous permet d’organiser vos données de manière à retrouver plus facilement des éléments spécifiques qui nécessitent un niveau d’examen plus poussé.

    Important : Voici quelques points à retenir sur le tri des données :

    • Les ordres de tri varient selon les paramètres régionaux. Assurez-vous que les paramètres régionaux corrects sont sélectionnés dans la boîte de dialogue Paramètres régionaux ou Options régionales et linguistiques du Panneau de configuration de votre ordinateur. Pour plus d’informations sur la modification des paramètres régionaux, consultez le système d’aide de Windows.

     

    • Des données contenant des espaces de début affectent les résultats du tri. Pour obtenir de meilleurs résultats, supprimez les espaces de début avant de trier les données.

     

    • Vous ne pouvez pas trier des entrées de texte qui respectent la casse.

     

    • Vous ne pouvez pas trier des données dans un format spécifique, tel que la couleur de cellule ou de police. De même, vous ne pouvez pas trier des indicateurs de mise en forme conditionnelle, tels que des jeux d’icônes.

       

    Suivez ces étapes pour trier des données dans la version de bureau d’Excel :

    1. Dans un tableau croisé dynamique, cliquez sur la petite flèche en regard des cellules Étiquettes de ligneset Étiquettes de colonnes.
    2. Cliquez sur un champ dans la ligne ou la colonne à trier.
    3. Cliquez sur la flèche Flèche du menu déroulant Filtre Étiquettes de lignes ou Étiquettes de colonnes, puis sur l’option de tri souhaitée.

    Filtre Étiquette de ligne

    Pour trier des données par ordre croissant ou décroissant, cliquez sur Trier de A à Z ou sur Trier de Z à A

    .Boutons Trier

    Les entrées texte sont triées par ordre alphabétique, les nombres du plus petit au plus grand (et vice-versa) et les dates et les heures de la plus ancienne à la plus récente (et vice-versa).

    Trier sur une colonne qui ne comporte pas de bouton flèche

    Vous pouvez effectuer le tri sur des valeurs individuelles ou des sous-totaux en procédant comme suit : cliquez avec le bouton droit sur une cellule, sélectionnez Trier, puis choisissez une méthode de tri. L’ordre de tri est appliqué à toutes les cellules de même niveau dans la colonne qui contient la cellule.

    Dans l’exemple ci-dessous, les données situées sous le niveau de la catégorie (Casque, Sac de voyage) sont triées par ordre alphabétique, de A à Z.

    Tri par défaut sur les étiquettes de ligne

     

    Pour afficher le tri des totaux généraux des produits (triés du plus grand au plus petit), sélectionnez un nombre quelconque dans la colonne Total général, et appliquez-lui le tri.

    Tri du plus grand au plus petit sur les valeurs de la colonne Total général

     

    Conseil : Pour trouver rapidement ce dont vous avez besoin, vous pouvez regrouper, filtrer ou appliquer une mise en forme conditionnelle au tableau croisé dynamique ou graphique croisé dynamique.

    Définir des options de tri personnalisées

    Pour trier des éléments spécifiques manuellement ou changer l’ordre de tri, vous pouvez définir vos propres options de tri :

    Cliquez sur un champ dans la ligne ou la colonne à trier.

    Cliquez sur la flèche Flèche du menu déroulant Filtre Étiquettes de lignes ou Étiquettes de colonnes, puis cliquez sur Autres options de tri.Filtre Étiquette de ligne

    Dans la boîte de dialogue Trier, sélectionnez le type de tri souhaité :

    Boîte de dialogue Trier

    • Cliquez sur Manuel pour réorganiser les éléments en les faisant glisser.

    • Vous ne pouvez pas faire glisser des éléments figurant dans la zone Valeurs de la liste de champs de tableau croisé dynamique.

    • Cliquez sur Ascendant (de A à Z) par ou Descendant (de Z à A) par, et choisissez le champ à trier.

    • Pour accéder à des options supplémentaires, cliquez sur Autres options, puis cliquez sur l’option souhaitée dans la boîte de dialogue Autres options de tri :

      Boîte de dialogue Autres options de tri

    • Dans Tri automatique, cochez ou décochez la case Trier automatiquement chaque fois que le rapport est actualisé pour autoriser ou arrêter le tri automatique quand les données du tableau croisé dynamique sont mises à jour.

    • Sous Première clé de l’ordre de tri, sélectionnez l’ordre personnalisé que vous voulez utiliser. Cette option est disponible uniquement quand la case Trier automatiquement chaque fois que le rapport est actualisé est décochée.

       

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