En conclusion :
Le conflit n’est pas une essence figée, mais une potentialité liée à notre liberté et à notre interdépendance. Comme l’écrivait René Girard, « le désir est mimétique, et donc conflictuel », mais l’humain a aussi le pouvoir de transformer ces tensions en créations collectives (art, justice, dialogues).
En bref : Le conflit est une partie de notre nature, mais pas sa totalité – notre humanité réside aussi dans notre capacité à le transcender.